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Vos articles préférés sur la pêche de la carpe - page 36

Flux RSS des 10 meilleurs articles sur la pêche de la carpe publiés dans les blogs carpistes

Prendre son mal en patience a parfois du bon !

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Article de Dadou publié le 8 Avril 2010 à 14:58 dans le blog évolution-carpe Mag
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C'est après un petit repas de pâques en famille que je rejoins J-C et Max, mes collègues carpistes, pour une petite pêche rapide !

A 17h, je me rends à l'étang en compagnie de ma femme, sans savoir où me placer au juste. Un regard vite fait sur le plan d'eau et je décide, d'instinct, de me placer près d'un petit buisson (hot spot de première pour moi). Nous garons la 205 rouge derrière ce petit buisson (bonjour la discrétion).

Avant de tout déballer, nous allons voir et saluer les collègues; ils n'ont rien fait, pas une tirée, pas un bip, rien de rien ! Cela s'annonce difficile ! Jean-Claude me dit que malgré le soleil, l'eau est encore à 10°C (là, c'est sûr, ce n'est pas gagné, mais j'y crois tout de même) ! Ils doivent plier à 19 h; nous pousserons le vice jusqu'à 20h30!

Il est temps pour moi de monter mon rod-pod et mes cannes (aidé par ma femme); je place un montage avec une bille ananas équilibré d'une bille fluo rose vif, un avec une bille ananas normal, et pour la dernière canne, j'ai envie de tenter ma chance à la graine, pour voir si cela fera la différence (le lupin), préparée et aromatisée top secret sur un lit de petits pellets.

30 minute après, je suis sur mon siège à contempler l'eau; la moindre activité qui se manifèste pour le moment de petits rotengles en bordure, et les rats d'eau qui font la navette d'un point à l'autre de l'étang. 19h approche et mes collègues, en face, commencent à plier bagages; pour eux, capot malgré quelques observations de carpes en bordure !

D'un seul coup, la canne du milieu, eschée de 3 grains de lupin, se met à dérouler sans le moindre bip avant; le poisson a pris l'appât franco (ce qui est bon signe). Je me lève et ferre amplement, sans brusquer le poisson qui remonte d'un coup en surface; je pense que ce secteur, que je n'ai jamais eu le temps de sonder, doit être peu profond !

La canne plie peu et je sens quelques coups de tête qui indiquent qu'il s'agit d'un petit poisson; effectivement, lorsque celui-ci arrive en bordure pour être épuiseté, nous apercevont un joli carpeau d'environ 2 ou 3 kg qui se donne à fond dans une eau presque transparente. Une fois le bébé sur le tapis, photos, vidéo, et remise à l'eau !

 

                                            

 

J-C, qui a entendu le départ, arrive juste au moment où le poisson vient de repartir. Il reste un peu pour papoter puis repart. Il nous reste encore 1h30; assez pour retenter notre chance ! Je replace mon montage avec toujours du lupin.

1h après ma prise, je remarque quelques poissons qui montent en surface et une belle touche se produit de nouveau sur la même canne eschée de lupin; mais le poisson ne donne pas suite. Dommage, car il était arrivé à faire trembler le rod-pod !

20h30 : il est l'heure de plier et c'est avec un petit regret que je délaisse ce secteur pour quelques jours, mais je compte bien y revenir une journée complète et faire, je l'espère, un petit carton ! Comme quoi, prendre son mal en patience a parfois du bon !

 

                        

 

 

                                                                                    Dadou

Thème: Stratégie et tactique de pêche | Département: Meurthe et Moselle (54) Lien permanent | Voir les 6 commentaires
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J’ai pas envie, mais, finalement...

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Article de Dadou publié le 18 Octobre 2009 à 20:13 dans le blog évolution-carpe Mag
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                                                         J’ai pas envie, mais, finalement...

 

Voilà l'automne !

 

 

 

Après une nuit difficile à me retourner dans tous les sens, je me lève en vrac (mal de tête, douleurs musculaires). Pour me calmer, un coup d'oeil à la fenêtre pour voir si le temps permet d'aller faire une petite excurtion aux carnassiers, vu que nous sommes en plein saison avec maître Exo; ou ce qui est possible : une petite session en étang. Quelle surprise de voir que rien ne s'y prête car un grand vent souffle (les gosses ont sortie les chiennes à 6 h et c'était déjà le cas); pour complèter le tout, les températures ont sérieusement baissé. Je suis planté devant la fenêtre et me demande si je sors ou pas. Derrière moi, les gosses me cassent les cou..., et devant : un temps pourri. Je décide d'aller un peu à la pêche ; au moins, je serai au calme ! 

 

 Je charge la voiture de tout mon bordel, et direction les étangs. A l'entrée des plans d'eau, l'emplacement est difficile car le niveau de l'eau a encore baissé; je décide de me placer sur l'étang "Job", à l'arrache.  

 

 

 

 

 

Ma femme m'aide à décherger tout avant d'aller au taf; elle m'aide même à monter le matos. Le vent souffle dans ma face; ce qui me fait avoir la goutte au nez. Mais une chose positive à tout ça : les feuilles des grands peupliers dégringolent côté route; il y a pas pire que lancer son montage et apercevoir, au bout de 3 ou 4 h sans touche sur une canne, quand on ramène la ligne, que la bouillette est enveloppée d'un petit tas de feuilles à peine pourries (j'appelle ça la pêche à la goutte d'eau).

Une fois mon rod-pod en place et mes montages eschés de billes flottantes rose fluo (arôme crème glacée)et déposées au bateau-amorceur, l'attente peut commencer. Vers 9 h, il n'y a encore aucun pêcheur autour des étangs; normal : il fait plus froid; seuls les pêcheurs de carnassiers peuvent encore être présents !

Le seul carnassier que j'observe depuis ce matin est un cormoran qui n'arrête pas de plonger pour chercher sa pitance. Quelle surprise de le voir remonter avec un jeune brocheton en travers du bec. Quelques sternes tournent autour pour l'obliger à le leur donner, mais il en a décidé autrement; il s'envole avec le brocheton et commence à monter lentement dans les airs, avec les sternes à ses trousses. D'un  coup, il lache le pauvre poisson sur le chemin (quel bruit de chute); les sternes préfèrent les poissons qui flottent sur l'eau et laissent tomber la chasse. Seul le cormoran tombe sur sa prise comme un rapace. Dommage de ne pas avoir filmé cette scène; je l'aurais mise dans les vidéo insolites, sur mon site perso.

9h27 : un bip me fait bouger du siège; une canne entre en action, et le poisson prend un peu de fil. Je ferre doucement (rien ne sert de piquer comme un malade, dans ce genre d'étang. Après un petit combat en douceur, je place une petite commune de couleur claire sur le tapis de réception.

 

                                         Tranquille je suis !

 

 Super : la flottante a encore fait ses preuves; et dire que je n'y croyais pas, au début ! Une petite vidéo loupée (l'appareil est tombé du mauvais côté, avec ce vent toujours aussi froid); seule une photo est correctement prise.

Après tout ça, remise à l'eau, puis reprise de l'activité du pêcheur : rester à gober les mouches ! Une heure plus tars, ma canne placée plus en bordure se met en action; superbe, car le poisson part comme une balle. Une fois la canne en mains, je sens que ce poisson est un peu petit mais nerveux ; quelques minutes plus tard, une belle miroir au superbe couleur orange crème me fait penser à une carpe koï.

La belle est sur mon tapis de réception et je reste en admiration devant ce manifique poisson. Une petite vidéo est prise en vitesse, car le vent souffle, et je n'ai pas envie de revoir la caméra par-terre. Une fois la vedette filmée, elle retrouve son milieu. C'est la seule prise de cette petite matinée tranquille.

Conclution : malgré une grande hésitation sur ma sortie-pêche, j'ai finalement eu raison d'aller faire un petit tour tranquille au bord de l'eau !

 

 

                                 

 

                                                                                      Dadou

Thème: Sessions de pêche | Département: Meurthe et Moselle (54) Lien permanent | Voir les 7 commentaires
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une matinée avec maco

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Article de nicolasb publié le 17 Septembre 2009 à 23:13 dans le blog !!! moi et ma pêche !!!
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5h du mat et la ptite troupe et réveillé, maco commence avec ses montages bas de ligne et moi je comate sur histoire naturel, on se regarde et une grosse envie nous monte pour aller à la pêche mais où...

je décide d'aller sur mon petit coin "un endroit de rêve"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

arrivé sur place maco scrute la queue de l'étang tandis que moi je me poste là où j'ai l'habitude de pêcher, aprés  30 min de réflection maco se poste à 20 mettre du mien, l'heure passe et un premier départ sonne sur la baterie de maco, un pin's vien lui faire un sourrire puis repart à l'eau, chaque heure sonne d'un départ, maco rate deux belles tirées et moi la même mais sur le troisième départ je sors cette belle commune encors vierge d'hameçon avec un écaillage parfait, un beau poisson quoi!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

voilà, nous repartons avec le sourrire au lèvre et plien d'idée en tête pour la prochaine sortie.

a+

 

 

Thème: Passion de la carpe | Département: Haute Vienne (87) Lien permanent | Voir les 14 commentaires
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1ère rencontre entre Dadou & Asphixi -Loïc

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Article de Dadou publié le 31 Août 2009 à 09:08 dans le blog évolution-carpe Mag
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                                Rencontre pour une Speed-fishing au grand étang sous Sainte-Anne

En regardant dans ma messagerie au cours de la semaine, je remarque le mail d'un jeune carpiste qui me propose une rencontre pour une éventuelle session, sur le secteur de mon choix. Je suis assez surpris; ça change de ceux qui me demandent des conseils : un carpiste de ma région me propose une rencontre pour partager notre passion commune, qui est la carpe ! La fameuse "déstination Saône" en compagnie de LaMagie aurait-elle fait boule de neige ?

Je lui réponds qu'il n'y a pas de problème; restait à déterminer le lieu de notre rencontre ! Cette semaine, je suis en pleine préparation d'un poste tantôt en étang (pour la semaine), tantôt sur un secteur de rivière (pour le week-end), et ne sais franchement pas où aller.

Quand j'ai voulu faire une session en étang, j'avais décidé d'attaquer le petit étang "Brondeau", mais, après vérification, ce dernier est à l'abandon et impraticable pour le moment ! J'ai envie de repartir sur le grand étang Sainte-anne, où je ne pêche sérieusement que depuis 2 ans, par disponibilité (avec les horaires de travail incompatibles entre ma femme et moi), je suis loin d'avoir fait le tour de la population carpe de ce plan d'eau. En ce qui concerne la rivière, l'eau y est encore très basse et les poissons sont lunatiques, même pour une pêche rapide; seule la nuit serait valable !

Je lui propose une petite session-découverte sur le grand étang Sainte-anne, et lui laisse mes coordonnées pour me contacter; à peine le mail lancé, mon portable sonne : il me confirme qu'il n'y a aucun problème pour ce secteur. Le rendez-vous est donc pris pour samedi matin, à la fraîche, autour de ce plan d'eau.

 

   

 

Samedi 29 Août 

La nuit a été très courte, car j'écris toujours quelques notes ici et là; ce qui ne m'a laissé que 2 ou 3 heures de sommeil. Il est 5 h quand ma femme (qui doit se rendre au travail) me réveille en trombe; dur-dur pour l'ours d'ouvrir les yeux, mais j'ai un rendez-vous et il faut que je bouge; un café rapide, un coup d'eau sur la face et c'est parti !

Le jour n'est pas encore levé quand je me trouve sur le chemin des étangs, et aucun pêcheur dans le coin; parfait ! Je dois choisir un poste assez vaste pour y placer 2 Rod-pod; un coup d'oeil vite fait à la surface qui ressemble à un miroir : rien ne bouge; bizarrement, il y a seulement un petit secteur avec quelques petits gobages (certainement rotengles et gardons).

Après un moment d'hésitation, je choisis finalement de me placer sur ce poste banal où le seul souci est le bruit sourd de la voie rapide qui passe juste derrière (à la longue, on n'y prête plus attention). C'est sous la lumière de ma lampe frontale que je monte le rod-pod et 3 cannes; la 1ère eschée d'une grappe de lupins, la 2ème d'une bille banane, et la dernière de ma fameuse pèche Melba, en 2 temps 3 mouvements; quelques graines au miel de ma fameuse amorce, et des pellets arrosent un vaste secteur à moins de 15 m en bordure.

Le jour pointe le bout de son nez et j'entends le bruit d'un moteur derrière moi; un gars en scoot avec tout son matériel à carpe passe sans prêter attention à moi. Peu de temps après un détecteur se met à chanter par à-coup; je me dirige vers lui, et regarde le scion danser la gigue. Je ferre, et ramène le 1er poisson : un chat (le con) s'est piqué le ventre sur mon chapelet de lupins (il servira de nourriture aux corbeaux) !

Je replace le montage presque à l'identique, sur une sorte de petit haut-fond. Le cyclomotoriste pêcheur est sur la rive côté rivière (on ne va pas ce battre pour les places) ! Le jour est maintenant bien installé, et une lègère brume se forme à la surface de l'étang.

 

                                              

 

Il est presque 7h et Loïc ne tardera pas; seul visu que j'ai de lui, c'est le petit article qu'il a mis la veille sur PowerCarp. Quand je gobe les mouches, une canne entre en action en faisant trembler le Rod-pod, puis une touche-retour me rapproche de la canne toujours eschée de lupins. Je vois le fil se tendre et détendre doucement.

Je prends la canne en mains et ferre amplement; elle plie franchement. Le poisson fonce droit devant lui à ras de la surface et me montre son dos massif, puis revient vers moi d'un seul coup et va sur le bord de la rive de gauche, vers une vieille souche (trop loin de lui, et il s'en rend certainement compte). Il décide alors d'aller dans l'autre sens et passe devant moi à une vitesse folle; impossible de le freiner. Il m'oblige à passer sous le rod-pod pour ne pas faire une salade de fils.

Je suis maintenant libre de mes mouvements; le poisson se trouve à moins d' 1 m de la rive et continue de la longer. Quand va-t-elle s'arrêter ? Je serre plus le frein et sens que le poisson commence à faiblir; c'est à mon tour de mener à bien ce combat qui n'est toujours pas gagné. J'arrive à le ramener; il voulait foncer dans quelques tas d'herbiers, devant moi. Après quelques ruts qui me font peur, j'arrive à le mettre à l'épuisette. Je suis bouche-baie quand je vois ce magnifique poisson; et Loïc n'est encore pas là ! Dommage; il n'a pas vu ce beau combat !

Je décroche ma belle; un petit coup d'oeil à ma pendule, il est 6h58 et il ne va pas tarder. Je décide de concerverma belle dans l'épuisette en bordure; à peine est-elle posée dans l'eau et canne encore en main qu'une petite voiture noire arrive à l'entrée du plan d'eau. Je pense qu'il s'agit de Loïc, mais lui n'est pas sûr qu'il s'agit de moi, et il se dirige vers l'étang "Job". Mon portable sonne : Loïc me demande où je suis; je lui réponds qu'il vient de voir de me voir. 1/2 tour et le voilà; les salutations sont brèves, car à peine arrivé à mon niveau, je lui demande de prendre la caméra. Surpris, il se prête au jeu. Quand je ressors la belle et la pose sur le tapis de réception, il est comme moi 2 minutes plut tôt : estomaqué ! Vidéo et photos et ma belle retourne à l'eau.

Je lui explique tout sur cette prise qui a trouvé mon chapelet de lupins à son goût, et que je n'ai pas pesée; je l'estime entre 15 et 16 kg. Et de 2 poissons : un chat et une belle !

 

    

 

Nous papotons pendant que Loïc monte son rod-pod;  je vérifie l'état des 2 autres esches (bille banane et pèche Melba); toutes les 2 sont rognéers par les satanés chats. Je décide alors de replacer tous les montages avec des lupins comme esches; Loïc fait de même.

Peu de temps après, les touches ne se fond pas attendre; quelques belles tirées ici et là mais sans vrais départs, sauf une canne qui entre de nouveau en action. Ce coup-ci, un petit carassin vient se poser sur mon tapis; peu de temps après, son petit frère (estimé à environ 2 kg) vient aussi nous dire "Bonjour".

 

   

 

C'est maintenant au tour de Loïc d'enregistrer une discrète touche-retour; il ferre et fait son 1er et seul poisson: un chat, presque aussi gros que son plomb !

 

                                           

 

En cours de matinée je décroche une nouvelle carpe sur un départ timide; dommage !  12 h : il est temps pour Loïc de plier bagages et je fais de même; dommage, car les poissons étaient en forme ! Mais ce n'est que partie remise !

Je suis heureux d'avoir pêché en compagnie de ce jeune carpiste simple et sympatique qui a su me montrer son respect pour les poissons; ce que j'apprécie beaucoup ! Je lui propose donc une nouvelle partie de pêche sur cet étang en cours de semaine, et une autre petite session en rivière. Le rendez-vous est donc donné; j'espère qu'il prendra autre chose qu'un satané chat !

 

                                               

 

 

Pendant que j'écris cet article, j'ai encore l'image de ce poisson dans la tête; je me demande pourquoi ! Je décide de regarder les photos et les vidéos à nouveau; je repasse le film plusieurs fois. J'ai une grande surprise, j'ai déjà fait ce poisson il n'y a pas si longtemps ( le 20 juin 2009) !  

Ce qui me trottait dans la tête est l'écaille en moins sur son flanc gauche près de sa tête. Quand je l'ai touché pour la 1ère fois, en compagnie de Nico (un collègue carpiste), il accusait un poids respectable de 19 kg, en période de fraie (ce qui donne, hors période de fraie, son véritable poids ce jour-là). Je regrette seulement de ne pas l'avoir pesé, pour savoir !

Quoi qu'il en soit, au-revoir ma belle et continue de prendre du poids, et surtout reste prudente !

 

Voici donc la petite vidéo de cette matinée, et, pour confirmer mes dires, celle où je l'ai touchée la première fois; regardez bien l'écaille en moins sur le flanc !

 

                                                                                2ème contact

                                  

 

                                                                                1er contact                                                       

                                 

 

 

                                                                                                     Dadou

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