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Vos articles préférés sur la pêche de la carpe - page 104

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surpriiiiise !!!!

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Article de seb28 publié le 2 Août 2011 à 15:39 dans le blog Nouveau départ !
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Lundi 1er Aout, au bord de l'eau au petit matin, je suis seul, les yeux encore embrumés par le manque de sommeil, le soleil commence à pointer le bout de son nez, et c'est avec un sentiment de bien-être et de zenitude totale que j'installe le matériel.

 


 

Il y a des jours, où,  je ne sais pas pourquoi, j'ai envie de bien faire, alors avant de placer les montages, j'installe mon repère grâce auquel j'ajusterai les lancers et amorcerai au plus juste.

Les montages sont au fond de l'eau, tous équipés de billes épices, que je trouve étonnamment moelleuses et "humides" ... mais bon, ça devrait faire l'affaire. Des particules sont également envoyées à l'aide du spod.

Je m'installe confortablement dans le level et profite de cette belle matinée.

10h, une camionnette se gare sur le poste d'en face, et ce sont 2 carpistes qui s'installent ... je grogne un peu en me disant, qu'avec toute la place de disponible, c'est en face de moi qu'ils décident de s'installer ... en esperant qu'ils ne viennent pas polluer mon coup en plaçant leurs lignes à proximité, l'étang n'étant vraiment pas large ....

En face, ça fouette ...et bim à 10 m de mon montage de gauche ... entre le manque de sommeil, le stress du taf et surtout cette haine des casse-bu**es, je ne peux m'empêcher de monter dans les tours et leur signifier un poil violemment  que moi aussi je pêche et qu'étonnement je pêche DEVANT moi ! Ça peut paraitre étrange mais moi, je pêche droit devant ...bref après 5 mn à s'échanger des noms d'oiseaux je laisse tomber devant la bêtise de mes nouveaux voisins d'en face.

L'attente peut reprendre ... puis vers 11h première touche à revenir ! Houuu l'amorçage fait son effet, c'est du bon ! Bon ce ne sera qu'un carassin (première fois que j'en fais un ici ... étrange).

Les heures passent et pas un seul signe d'activité sur ma batterie, contrairement aux relous d'en face qui eux font du poisson ! Une autre touche à retour me fera espérer vers midi, mais une fois de plus je décrocherai une grosse brème directement dans l'eau.

15h, je décide de vérifier les appâts, car  ça commence à devenir inquiétant ! Bien m'en a pris, puisque sur 4 cannes, 3 pêchaient à la goute d'eau ! les bouillettes disparues ! Lors de la prise du carassin et de la brême, j'avais remarqué que les chats étaient en grande forme, mais me rincer 3 montages comme ça, c'est un peu de l'abus de leur part !!!!

D'un autre coté, les bouillettes utilisées étaient tellement tendres qu'il n'a pas fallu longtemps aux indésirables pour nettoyer les cheveux .... très bien, on change d'appâts, plus durs cette fois, et l'intégralité des billes épices achetées récemment se retrouve dans un filet à sécher afin de les rendre plus fermes et moins vulnérables aux attaques de la blanchaille.

Ainsi,  j'équipe mes montages de sacs solubles, et m'applique à spoder sur le poste ... stratégie gagnante puisqu'à 17h gros départ sur la canne de droite qui s'arrêtera avant que je ne puisse me saisir de la canne ...dommage ... mais au moins les poissons sont là ....

 

18h30 ; les poissons sont bel et bien là puisque la canne de gauche enregistre une timide tirée, suivie d'un écroulement du swinger, je ferre et le combat peut s'engager ... les débuts sont timides, par contre quel final !!!! impossible de la faire monter sans qu'elle ne me reprenne 2 mètres de fil cash ! Quelle bagarre !!!! Vu le combat, je suis persuadé que c'est une de ces belles communes qui hantent le plan d'eau et qui sont calibrées entre 11 et 12 kg, ce n'est pourtant qu'à la mise à l'épuisette que je me rendrai compte que ce n'est finalement qu'une miroir, mais une très belle miroir, massive, avec de belles couleurs ! Elles sont rares ici ! Je suis super content !!!

 


 

Je fais les photos et profite de la remise à l'eau pour admirer une dernière fois ce poisson rejoignant le fond.

Wahou, bon, ça avait bien mal commencé, mais là ce poisson efface d'un coup tous les désagréments de cette journée ! Même les "voisins d'en face" faisant sonner leurs détecteurs toutes les 3 mn je ne les vois plus,  je ne les entends plus !!!!

Le montage est replacé à l'identique, quelques billes et quelques spods viennent compléter le piège à nouveau opérationnel.

19h45, un second départ me rappelle à l'ordre, au ferrage je sens que ça risque d'être lourd, en effet le poisson s'éloigne lentement mais surement  sans que je ne puisse le stopper ... et c'est reparti pour une bagarre bien virile !

Au bout de 15 minutes, je n'ai toujours pas aperçu le leadcore, la carpe colle le fond et me fait comprendre que ça ne sert à rien de la brider puisqu'à chaque fois que je gagne 1metre en force, elle m'en reprend 2 ! Je laisserais donc travailler la canne afin que le poisson s'épuise seul .... et c'est cm par cm que je gagnerai ainsi du fil.

Le poisson se trouve maintenant à 3 mètres de la berge et commence à remonter vers la surface, c'est alors que je découvre une masse comme cet étang ne m'a jamais offert .... une deuxième belle miroir !!! Je crois rêver, vraiment il ne faut pas la louper, le combat à été long j'espère qu'elle ne va pas se décrocher devant l'épuisette ...et non, j' arrive, après deux misérables tentatives où le poisson me gratifiera de deux redémarrages en puissance, à emmailloter le poisson !

C'est au moment de porter le filet pour installer ma captive sur le tapis que je prends conscience du poids et de la masse de ce poisson ... haut, large, un bon gros bidon et surtout une bouche vierge de piqure ! Magnifique cadeau que me fait ce petit étang que je pensais connaitre par cœur !


La séance photo est un pur bonheur, fier de poser aux côtés d'un si beau poisson, je suis limite hilare. Je n'ai pas envie de le remettre à l'eau et de pouvoir continuer à l'admirer.

Je continuerai a pêcher jusqu'à la tombée de la nuit, avec tout de même un 4ème départ qui se soldera par une décroche ...  dûe à un combat mené comme un branque ...je n'ai plus la tête à ma pêche, je n'ai qu'une envie, rentrer et voir ce que donnent les photos de ces deux poissons.

 

 

A la nuit tombée,  je me décide enfin à partir, heureux, zen et quand même un peu ....... fier ....Embarrassé

 

A+

seb

Thème: Sessions de pêche Lien permanent | Voir les 6 commentaires
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Vacance sur le Rhône

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Article de TomSuncarpe26 publié le 4 Juillet 2011 à 15:52 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le 23 mai 2011.

Après quelques mois de travail intensif, je dispose enfin de quinze jours de congés bien mérités.

Pour se vider la tête et reprendre ses esprits, rien de telle qu’une session de pêche en symbiose avec la nature.

Je décide d’affronter le Rhône au nord de Valence, sur l’un de mes postes fétiches.

Je vais débuter la partie de pêche en solitaire, puis Hugues, un collègue débutant dans le domaine de la carpe, me rejoindra dans la semaine.

Nous sommes lundi, le Kangoo est chargé et la glacière bien garnie, pour attaquer l’aventure du bon pied.

 

 

 

 

Biwi

J’arrive sur place vers 15h30, le soleil brille de tous ses éclats, soufflé par un vent du nord rafraichissant l’air étouffant.

Je monte mon matériel petit à petit, en commençant par décharger la barque et en finissant par déployer le biwi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec plusieurs heures à mon actif sur ce poste, je connais parfaitement la pêche à réaliser.

Pour commencer, je dépose un repère dans les herbiers sur ma bordure de gauche. Ce spot sera arrosé de pellets en 15 et 25mm, avec deux cannes eschées aux pellets de la marque SaoneCarp en 25mm.

Par la suite, je m’occupe de ma ligne de droite.

Je gonfle et installe ma fameuse bouée tyrolienne sur la digue immergée, qui se présente à 70m devant moi. Je dépose ma ligne eschée de deux bouillettes carnées une dizaine de mètres derrière la bouée, le long de l’enrochement, puis j’emprisonne le fil dans le mousqueton avant de tendre la ligne sur le rod-pod. Tout est en action, la bannière survole le Rhône jusqu’à la bouée. Pour ma dernière canne, je vais tenter de poser le montage contre la digue de mon côté. D’habitude, il est impossible de la pêcher, car le courant ne le permet pas. Avec les conditions caniculaires des derniers mois, le fleuve à un débit de 350m3/s. C’est très faible par rapport à la moyenne annuelle de 700m3/s.

Je prépare la ligne avec deux bouillettes carnées et lance le montage contre la digue. Le plomb se cale sans difficulté.

 

 

 

 

PostePoste

 

 

 

A 17h30, me voilà avec les quatre lignes opérationnelles.

Je profite pleinement de la fin de journée en contemplant la surface du Rhône, tout en me tenant à l’abri des rayons du soleil.

Vers 21h, je relance mes trois lignes de gauche avant la tombée de la nuit.

Je dévore un bon repas, en finissant par une belle salade de fraises.

Je m’allonge et bascule au pays des merveilles, vers 23h.

Le premier départ ne se fait pas attendre. Ma deuxième canne de gauche déroule à toute vitesse. Je saisie la canne et stoppe le TGV infernal.

Je saute dans ma barque pour affronter la bête. Le combat est de toute beauté dans le courant.

Je parviens à hisser le poisson au fond du filet de mon épuisette. Je pèse ma première carpe commune à 12.6kg. Voilà une bonne chose de faite !

 

 

 

 

12kg12kg

 

 

Je replace le montage et regagne mon duvet.

Quelques heures plus tard, c’est au tour de ma canne de gauche de faire des siennes. Je sors en trombe de mon biwi, pour prendre la canne. Par inadvertance, mon pied glisse et heurte une roche coupante. Rien de grave, mais il y a une petite entaille saignante sur la malléole. Enfin, je ne vais pas en faire tout un patas-caisse !

Comme précédemment, je saute dans la barque pour sortir ce poisson. Je pèse une deuxième commune à 10.3kg.

Je fais encore deux carpes en fin de nuit avec des poids à 8.6kg et 10.6kg.

 

 

EpuisetageCombat

 

 

En milieu de matinée, je replace toutes mes lignes.

Vers 12h, j’enregistre un nouveau départ sur ma canne de gauche, juste après l’avoir relancée. Mais lors du combat en barque, le poisson se décroche dans les herbiers. Cela n’est pas très grave, c’était une petite commune.

Quelques minutes plus tard, je reçois la visite d’Irwin me permettant de papoter un peu.

La journée est caniculaire, je me tiens à l’ombre de quelques arbres pas très épais.

Pour une fois, je suis content d’avoir un peu de vent du nord pour atténuer la température de l’air.

Je replace mes lignes régulièrement toute l’après-midi jusqu’à la nuit, mais sans succès.

La nuit tombe peu à peu pendant mon souper.

Toujours pas de touche, alors j’en profite pour appeler ma chérie.

J’ai à peine le temps de dire « coucou … » que ma petite étoile m’envoie une carpe sur ma ligne de gauche. Je lâche le téléphone et cours vers mon rod-pod pour mettre fin au sifflement de mon détecteur. Je saute dans mon embarcation et démarre le combat. Le poisson tricote entre mes lignes et se faufile dans les herbiers. Je suis obligé de tirer sur le brin d’arracher en nylon pour sectionner les herbiers, mais je sens un violant coup de tête qui casse le bas de ligne, tant pis !

C’est le jeu ma pauvre Lucette !

Je reviens sur la terre ferme pour remonter ma ligne et amorcer le spot. Le vent du nord ne me facilite pas la tâche, il a doublé d’intensité depuis le coucher du soleil.

Je ferme les yeux vers 23H.

Au milieu de la nuit, je sors une petite commune de 7.5kg. Le jour se lève doucement laissant apparaître monsieur soleil.

Vers 9h, la ligne de gauche se détend et je ramène un petit silure de 80cm.

Vers 11h, c’est la deuxième ligne de gauche qui démarre à toute vitesse. Je prends la canne et la barque en direction du poisson.

Encore une fois, le nylon est entouré à plusieurs reprises dans les herbiers. Je parviens à m’en défaire, mais pas sans dommage. La carpe se dépique pendant le combat au milieu du courant, zut !

Pour le moment, je ne touche aucun poisson sur mes lignes à la bouillette près de la digue. J’ai souvent fait de beaux poissons donc je continue à persévérer.

En montant au-dessus de mon poste de pêche, j’aperçois un troupeau de carpes en train de manger dans les herbiers. Je décide de faire un test avec une ligne entre le bord et les herbiers.

Après une nouvelle visite d’Irwin, j’ai un départ vers 14h. Une touche retour violente, le poisson a traversé un gros herbier. J’enregistre une nouvelle perte avec une casse. Je remonte la ligne avec un brin d’arracher en tresse pour faciliter la coupe des herbiers lors des départs.

Vers 16h, un barbeau vient se piquer à l’hameçon.

Le reste de la journée est très calme, sous un soleil de plomb.

Hugues arrive vers 20h. Il s’installe en dessous de moi, sur un poste que j’ai taillé pour pouvoir pêcher convenablement.

Il sue à grosses gouttes pour monter son matériel.

 

Biwi HuguesPoste

 

Nous montons une stratégie de pêche pour stopper le poisson navigant dans le périmètre.

Nous passons une agréable soirée autour d’un verre et un barbecue.

J’enregistre une touche avant la nuit, une petite commune de quelques kilos s’est piquée à l’hameçon.

Nous nous couchons vers 23h.

La nuit est très calme, mis à part quelques brèmes, aucunes carpes viennent nous perturber pendant notre sommeil.

Le soleil refait surface avec autant de violence que la veille.

J’ai aperçu plusieurs carpes en train de manger dans très peu de fond au-dessus de mon poste. Nous décidons d’aller les traquer avec une ligne chacun.

Les carpes sont toujours là, à troubler l’eau avec la queue en l’air et les babines sur le fond.

 

 

Rodée

Observation

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je place une ligne à la bouillette fluo-pop et Hugues en positionne une au carnée.

Les poissons effleurent nos appâts sans y porter attention.

L’heure du repas approche, nous regagnons nos postes de pêche.

Nous avons perdu une bataille, mais pas la guerre.

Nous retournons à notre pêche à la rodée en début d’après-midi.

Cette fois, j’ai opté pour du pellet en 15mm bien booster.

Je replace ma ligne au même endroit que ce matin.

Je vois trois carpes s’approcher de mon montage, l’adrénaline monte fortement.

Je suis comme un dingue à attendre la ligne se tendre.

 

Soudain, le fil bouge violemment et se détend aussitôt. Les carpes font un gros nuage de boue en fuyant le spot. Je pensais avoir eu une touche, mais cela devait être une carpe qui avait touché mon fil.

Un orage commence à grogner derrière nous, en s’approchant dangereusement.

Nous décidons de rentrer au bercail.

A ma grande surprise, au moment de relever la ligne, un poisson est bien pendu à l’hameçon.

Le combat s’engage avec vivacité dans les quelques centimètres d’eau. Je sors une petite commune de 2kg. Trop bien !

Elle devait être piquée depuis un moment, sans bouger dans les herbiers.

 

Rodée2kg

Relâche

Une fois sur nos postes de pêche, nous relançons nos lignes pour la soirée. La pluie tombe sans trop nous déranger. J’espère même que cela va favoriser les touches pendant la nuit.

Le poisson est actif, nous observons plusieurs sauts dans notre sillage, sur le Rhône.

Lors de l’arrivée de l’obscurité, nous enregistrons des touches de blanc, brème, barbeau, carassin …, puis les carpes arrivent enfin. Mon sommeil est interrompu à quatre reprises par des départs de carpes. Je sors des poissons de tailles moyens, mais avec des combats assez intéressants.

 

12kg12kg

 

Peu de temps après le lever du jour, pour la première fois, une de mes lignes à la bouillette intercepte un poisson. Le départ est puissant, même après le ferrage la carpe continue à prendre du fil. Je me jette dans la barque afin de mettre tous les atouts de mon côté.

Le spécimen tient les profondeurs en sondant le Rhône sur plusieurs mètres.

Au bout d’un quart d’heure, le poisson monte peu à peu à la surface. Je suis à quelques doigts de l’épuisette, lorsque le montage se décroche de la gueule du poisson.

Je suis dégoûté !

J’ai certainement manqué une très belle carpe.

 

De son côté, Hugues a fait également deux carpes et quelques blancs.

 

6kg5kg

Le temps orageux a bien joué son rôle d’impulsion sur la frénésie des poissons.

Cette journée de vendredi est spectaculairement marquée par le changement de température par rapport au début de semaine. Nous venons de passer à ~15°C au lieu de ~30°C, heureusement que nous avions prévu les doudounes.

Déjeuner

Vers 11h, je décide d’aller rapidement à la  pharmacie du coin pour trouver des pastilles et un spray pour la gorge. Je ne peux plus tenir avec une grosse douleur à la trachée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je suis de retour un petit quart d’heure plus tard. Sur le long du chemin, j’aperçois Hugues sur mon poste en train de faire des grands gestes. Je comprends très vite qu’il est certainement sur mes cannes avec un poisson.

J’active le pas pour le rejoindre. En arrivant sur place, il dépose une petite commune sur mon tapis de réception. Mais cela n’est pas fini, car Hugues m’explique qu’un deuxième départ c’est produit pendant son combat. Malheureusement, le deuxième poisson n’est plus à l’hameçon.

Hugues est dans tous ses états,  c’est dur de gérer deux départs en même temps quand on n’en a pas l’habitude.

 

DoubléDoublé

Décroche

 

Avec ce froid de canard, le reste de la journée est calme.

Nous espérons faire encore quelques poissons pour cette dernière nuit au bord de l’eau.

Une nouvelle fois, le soleil bascule peu à peu derrière les collines ardéchoises pour laisser place à l’obscurité de la nuit.

Dès les premières heures, je suis dérangé par des touches de blancs.

Cela devient insupportable, j’enchaîne nuisible sur nuisible, 3 brèmes, 2 barbeaux, 1 chevesne et 2 carassins.

Le jour se lève, sans même avoir réalisé la prise d’une carpe.

 

Relâche

Hugues fait mieux que moi, avec tout de même une carpe et une décroche pendant la nuit.

 

   

Dès le petit matin, le vent souffle avec violence.

Nous ne traînons pas à plier bagage pour clôturer cette session de pêche.

 

Je suis satisfait de cette session de pêche avec Hugues. Nous avons passé un très bon moment ensemble avec la visite de plusieurs carpes. Hugues est ravi d’avoir fait ses premiers poissons sur le plein Rhône.

 

Thème: Sessions de pêche | Département: Ardèche (07) Lien permanent | Voir les 7 commentaires
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A la nage et.. 4 sur 4

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Article de LaMagie publié le 25 Juin 2011 à 18:11 dans le blog LaMagie :Pêche carpe entre potes à Mâcon
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Arrivé sur ma petite place habituelle, il y a une activité sans précédent : il est 21h00 et il y a un saut toutes les 30 secondes. Au bord, dans le chenal...

Hou, ça sent bon Mort de rire...

Je décide de retenter ma dépose à la nage...

 

Je me trouve un peu bêta quand, à l'endroit où je dépose mon premier montage, je m'aperçois qu'il n'y a qu'un mètre d'eau. Mais au moins, je ne me suis pas envasé !

3 heures du mat : départ sur cette même canne.

Contact... Aïe, je sens de suite que cela va être compliqué.. Il y a bien un bon gros fish au bout, mais il s'est tancké direct. Je suis patient, mais rien n'y fait, le montage est coincé quelque part.

Quand soudain : un second départ Moqueur. Bon, je vais laisser la première se décoincer seule et je repose la canne.

La seconde est jolie, 6 kilos et repart dans son élément après une séance photo ultra courte.


Mais le premier montage est bel et bien coincé, et il n'y a plus la moindre présence d'une carpe au bout.
Tant mieux pour elle (tant pis pour moi Clin d'oeil), je force un peu, et le montage reviens sans le plomb qui devait être le coupable de cette mésaventure. L'hameçon est toujours au bout, pas de misère donc pour notre copine de jeu.

Je repose tout ce petit monde, mais pas à la nage : courageux, mais pas téméraire Innocent!

4h30 : Encore un départ, mais vraiment timide. Je ramène tranquillou mon premier gros glane de l'année :

1 kilo, dont certainement la moitié du poids en BigBilles Clin d'oeil !

 

 

La nuit se termine, magique. Cela fait 4 sorties de suite en speedfishing sans capot, humm parfait.

 


 

 De retour à la maison, je fais un faux mouvement. "CRaAaaaAc" AïïÏeuuu mon mollet Horreur !

 

 

 

Verdict : déchirure ! 3 à 5 semaines sans marcher Triste  

Et bien, voila une journée qui ne se termine pas aussi bien qu'elle a commencée Mécontent 

Bon, le positif, c'est que quelques carpes vont être tranquilles sur mon petit coin pendant un moment   Cool... 

 

 

LaMagie

Thème: Pêche de nuit | Département: Saône et Loire (71) Lien permanent | Voir les 4 commentaires
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3 sur 3 : j'ai la palme !

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Article de LaMagie publié le 12 Juin 2011 à 13:54 dans le blog LaMagie :Pêche carpe entre potes à Mâcon
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En fouillant dans mon bazar, je retrouve un vieux bateau gonflable, des palmes et divers trucs de plage. Mon p'tit cervelet fait tilt, et je me demande si cela permettrait de faire une dépose des montages... en palmes.

Les float-tube semblent sympa, mais vu le prix, je voudrais bien tester la technique de dépose Sencuré au spot sans barque.

Ce vendredi, retour sur mon p'tit coin tranquille.

Je gonfle le bateau, j'enfile un maillot de bain. Je dépose les cannes sur les supports, pick-up ouvert, et me voilà - clip clap - à patauger a plat ventre sur le bateau, en tenant un seau qui contient le montage et un fond de bouillettes.

Brrr.. quand je pense qu'il y a des silure de 2m40 la dessous, vite, penser à autre chose.... Perplexe

Je traverse un banc de nénuphars et le premier montage ira au fond d'une belle trouée.

Retour pour les 2 montages suivants, qui trouveront plutôt les bordures de ce banc.

 

 

 

 

Le quatrième montage sera déposé plus au large, quand soudain : BlouBlouBlouPsssschBlou BlouBlouPssschh.

Mort de rire  Mort de rire : mon bateau est percé, il n'a pas dû supporter une tige sous marine. Dommage : je n'ai pas pensé à prendre une photo ou une petite vidéo de cette virée, ça devait valoir des points.

Hop, je tends les montages et au bed...

 

 

 

 

 

 Minuit pile poil : un départ franc sur la canne au large - BigBille sur pop-up fluo Night&Day-. Je ferre, je la tiens 1 minute puis décroche.

SaperliZut Horreur !.

Un petit coup d’œil à la température : 8,5°. Les pieds dans l'eau à 15° de la Saône, c'est un vrai bonheur !

Mon duvet est limite adapté, je commence à me cailler, j'ai les pieds gelés Mécontent.

2h30 Biiiip : c'est la canne au milieu des nénuph' qui n'en finit pas de dérouler. Engoncé bien profond dans le sac de couchage, j'ai toutes les peines du monde à trouver la femeture éclair. BiiiiIIIIIIIIIp : et l'autre qui continue à débarouler !

Je tire sur un truc : criiiiitch ! Oups, j'ai déchiré la fermeture du duvet sur 50 cm Innocent. Le reste de la nuit risque d'être très-très longue avec le froid !  

Contact : hou, c'est lourd et puissant. Pour la 3eme nuit sur ce secteur, j'ai déroulé à chaque fois. 3/3

Je prend mon temps, surtout qu'elle s'est tanckée dans les herbiers. Elle vient tranquille. Houuu, que la tache blanche est belle, au bout du fil...

 Sympa : dans un dernier rush, elle se précipite direct...au fond de l'épuisette Clin d'oeil.

Pesée : trop cool, 14kg200, ma meilleure prise en speed session.

 

 

 

 

 

 

Sur la première série de photos, je me rend compte que j'ai piqué le bonnet au grand schtroumpf

Mort de rire

Quand je vous dis qu'il fait froid....

 

 

Remise à l'eau... Cette technique est donc payante. Il faudra que je trouve une chambre à air ou un bidule du genre pour affiner mon déplacement.

De plus, un montage in-line sera peut-être mieux adapté.

Mais pour l'instant, le reste de la nuit sera... bien frisquet Moqueur.

J'ai bel et bien détruit mon duvet Embarrassé


 

La BigBille enrobée dans un bas a résisté aux assauts habituels des nuisibles. 
Fini de pêcher "à la goutte d'eau" Cool
 
 LaMagie
Thème: Pêche de nuit | Département: Saône et Loire (71) Lien permanent | Voir les 11 commentaires
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