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Vos articles préférés sur la pêche de la carpe - page 486

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Gravière de l'Ain fin mai 2007

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Article de couzchain publié le 25 Juin 2007 à 16:32 dans le blog PASSION CARPISTE
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Cette session du dimanche 27 mai restera certainement dans ma mémoire comme une journée bien réussie. Pas vraiment prévue, car je n'étais rentré de la précédente que le vendredi, mais grandement instructive. Merci Béatrice pour me laisser tant de liberté pour assouvir ma passion. Les carpes avaient-elles finies leur frai ? Pour moi certainement pas car des trombes d'eaux et une chute des températures se sont faîtes ressentir depuis la veille. Comment allaient-elles réagir avec de tels caprices de la météo ? Autant de questions pour une seule journée de pêche, un vrai régal de carpiste.

C'est sous une pluie battante que j'arrive sur la gravière, à peine le temps de sortir le matériel de la voiture que me voilà déjà trempé jusqu'aux os. La vie de carpiste n'est pas faîte que de session sous un beau soleil, il faut mériter ses poissons. Je m'installe sur un poste tout ce qu'il y a de plus banal, des fonds monotones et seulement quelques petits herbiers qui apparaissent au milieu de nulle part. Ils ne sont pas très denses et hauts donc je pourrais pêcher en leur sein. Pour tenter de me procurer des départs, j'opte pour une pêche au pellet, du moins sur une canne. Son pouvoir attractif surpasse dans bien des cas les bouillettes, même celles à diffusions instantanées. Ce n'est pas une pêche très sélective mais on peut parfois avoir des surprises. Je place la canne esché du pellet de 25 mm sur les herbiers et lance les deux autres en périphérie au cas où une carpe n'oserait pas s'approcher. L'unique amorçage sera composé d'un sac soluble rempli de pellets à dissolution rapide.

Cette journée sera un festival de carpeaux, principalement des communes, pris sur une seule des cannes. Le pellet aura encore joué son rôle de déclencheur immédiat de touches. Une fois avoir lancé le montage, il me fallait attendre environ 45 minutes pour enregistrer un départ. Les deux autres cannes restaient quant à elles  muettes toute la journée, même pas un bip. Pourquoi les carpes se focalisent-elles sur un appât et pas sur un autre?

D'ailleurs tout comme les autres carpistes présents sur la gravière. Même un qui est venu se coller à moi n'entendra ses détecteurs que lorsqu'il jouait avec et je peux vous dire qu'il les touchait souvent. Limite casse c------s, vous me comprenez. A moins qu'il ne les testait que pour savoir s'il les avait bien allumé. Il est resté un peu stoïque sur ma "réussite", si on peut dire. Mais rien ne sert d'attendre les touches, il faut les provoquer.

Pour répondre à mes questions. Les carpes n'ont pas toutes aimé les caprices de la météo car je n'ai fait que du petit poisson, où étaient les plus grosses et pourquoi le pellet? Encore des questions en suspens. Il va encore falloir partir pêcher pour tenter de cerner le mystère. Par contre les carpes n'avaient pas fini leur frai car deux semaines plus tard, elles ont remis le couvert. Cette année aura vraiment été difficile à ce niveau mais maintenant on est certain, elles ont fini de batifoler. Elles penseront très certainement à se nourrir dans les prochains jours.

 

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Octobre 2006 - Gravière Locale

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Article de CAPEL publié le 17 Juin 2007 à 16:43 dans le blog LE TEMPS DES SESSIONS
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Session Week-end Octobre :

...mi octobre, à l'aube de ce vendredi je retrouve le même poste jusqu'à samedi soir. Depuis plusieurs jours, un temps d'automne s'est installé sur la région, propice à contempler la nature et à passer du bon temps au bord de l'eau. Idéal pour se changer les idées et oublier les soucis quotidiens. Les feuilles des arbres commencent à revêtir leurs couleurs flamboyantes, les oiseaux chantent à tutête, la nature est encore loin d'être endormie. Les matins sont brumeux, puis le soleil brille généreusement en journée, les températures sont clémentes et bien agréables pour la saison. Globalement, la météo est stable. Seul regret, le vent n'est pas de la partie. Mais cette absence me permet d'observer l'activité en surface, et je remarque la présence de marsouinages sur mon coup amorcé.

Une seule variante dans ma pêche par rapport à septembre, j'ai opté pour des appâts fruités et non carnés. Cela aura-t-il un impact sur mes résultats ? La réponse ne se fait pas attendre, les départs s'enchaînent dès le matin et uniquement sur mon coup amorcé. Pour cette première journée, huit poissons verront les mailles de l'épuisette, avec une moyenne proche des 8 Kilos, tous bien calibrés, certainement le même banc.

Plus gros poisson - Miroire très claire

En cette fin de première journée, je change d'appât sur mon coup au spot, les flottantes auront leur chance puisque rien n'a bougé aujourd'hui. C'est souvent une bonne alternative pour débloquer une situation mal engagée. La curiosité des carpes peut faire qu'elles se saisissent d'un appât flottant alors qu'un appât posé à fond reste sans succès.
La nuit sera calme, sans départ. Tôt le matin, encore plongé dans un sommeil profond, je mets un certain temps à réagir au son du Delkim d'une des cannes que j'ai esché d'une flottante. Si bien réveillé que j'arrive à ferrer la canne qui ne sonne pas ! Encore une anecdote qui restera un bon souvenir. Aller, personne n'a rien vu !...le temps de réagir et un beau poisson d'une dizaine de kilos finira par me sortir définitivement des bras de Morphée. Satisfait que mon initiative de la veille porte ses fruits, puisqu'un second poisson quelques minutes plus tard, goutera à son tour à l'appât décollé.

Le samedi sera conforme au vendredi, je comptabilise huit départs, sept poissons et un décrochage. La moyenne est légèrement plus haute, la dernière prise de la journée sera le plus gros poisson du week-end, une magnifique miroir de 13.7 kilos.

Pour la seconde fois, cette technique de pêche est payante sur ce plan d'eau même si je regrette de n'avoir pas sorti de plus gros poissons. J'attends la prochaine session programmée en novembre avec impatience. J'ai déjà décidé de revenir aux appâts carnés, persuadé que ce choix me permettra de toucher de plus gros poissons...

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Septembre 2006 - Gravière Locale

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Article de CAPEL publié le 17 Juin 2007 à 16:32 dans le blog LE TEMPS DES SESSIONS
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Session Week-end Septembre :

 J'arrive à l'aube ce vendredi matin sur les bords de notre gravière locale, heureux de voir que le poste est libre. De plus, peu de carpistes sont installés, la faible pression de pêche est un atout supplémentaire. Plusieurs sauts dans la zone amorcée viennent trahir la présence des carpes, je suis confiant. De plus, la météo est stable depuis plusieurs jours, le vent que j'ai en pleine face est bien présent et s'est même renforcé cette nuit. 

Comme je l'avais convenu, je lance seulement une vingtaine de bouillettes sur mon coup, l'amorçage supplémentaire se fera uniquement après chaque départ avec 2 poignées de bouillettes, l'objectif est de maintenir le poisson sur le coup. J'apporte une attention particulière au placement de mes lignes car le fond est colonisé d'herbiers, et je recherche les petites zones de graviers propres où se nourrissent les carpes.  La première ligne est eschée d'une simple bouillette, distance de 80 mètres environ, la seconde ligne en bonhomme de neige à 70 mètres. Les montages sont simples : anti emmêleur de 50cm (en raison des herbiers, et pour protéger mon fil) + plomb en dérivation trilobe 110 g (le tout en Korda), bas de ligne de 25cm en nylon Mitchell 28/100ème et hameçon ESP T6 taille 3 (taille 2 pour le bonhomme de neige).

Mes deux autres cannes sont éloignées du premier coup. Après un sondage précis, j'avais repéré sur la gauche une cassure à 20 mètres du bord, spot que j'avais déjà pêché au printemps avec plus ou moins de réussite mais qui me semble avoir un potentiel, je pense que c'est une zone de passage. Mon approche consiste à intercepter les poissons par une pêche discrète en utilisant fil et sac soluble. La première canne est placée dans la cassure eschée d'une flottante et amorçage avec un sac soluble rempli de micro pellets et morceaux de bouillettes, la deuxième canne est légèrement plus loin en bas de la cassure avec une simple bouillette et  fil soluble de 10 bouillettes coupées en 2 pour une diffusion plus rapide.

J'ai opté pour des appâts carnés, que j'utilise dans 90% de mes pêches tout au long de l'année.

Dés le début de matinée, les départs sont au rendez-vous et les Delkim sont bien sollicités, notamment sur mon coup de gauche non amorcé. Quatre poissons d'un poids raisonnable rejoignent le tapis dont une magnifique carpe commune de 9 kilos, une torpille typique du plan d'eau qui aura bien fait plié ma Garbolino Lady First Premium.

A midi, je peux me restaurer tranquillement, mais les hostilités reprennent à partir du début d'après midi, et cette fois-ci sur mon coup amorcé. Alors que je mets à l'épuisette un poisson de petite taille, le Delkim de droite s'emballe, le départ est lent mais régulier. Je saisi ma canne et je me rends vite compte que ce n'est pas le même poids au bout de la ligne...après cinq minutes,  je décroche une belle carpe dont le déplacement était lent mais lourd, j'enrage car après vérification je constate que mon hameçon T6 est de taille 3 sur ce montage bonhomme de neige, donc trop petit, d'ailleurs j'avais prévu un N°2...c'est en grognant que je replace au plus tôt la ligne sur le spot avec cette fois un hameçon en adéquation avec la grosseur de l'appât.

J'espère qu'elle n'était pas seule sur le coup...je n'aurai pas longtemps à attendre, 15 minutes suffisent pour qu'un départ se produise sur la même canne, c'est à nouveau un beau poisson qui passe dans tous les herbiers de la zone. S'en suit un combat d'environ 10 minutes, et après que plusieurs parties d'herbiers soient remontées à la surface, une magnifique carpe de 15.7 kilos est immortalisée sur l'appareil numérique. Ses écailles très particulières me permettent de reconnaître ce poisson que j'ai déjà pris en avril dernier sur un autre poste, cette fois avec 400 grammes de plus ! Je relance avec précision et amorce comme après chaque prise sur ce coup avec une trentaine de bouilletes. 


En milieu d'après-midi, c'est une belle carpe miroir de 12.5 kilos qui emballe à nouveau le détecteur. Puis à 18H précise, le swinger de ma canne de droite se fait éjecter après un départ violent, prise en main et contact avec un poisson surpuissant. Il me faut quelque temps pour lui reprendre du fil, et environ 10 minutes pour la ramener à quelques mètres du bord. Mais c'est loin d'être gagné car la belle est calée au fond. Pas question de reprendre du fil. La Garbo cintre, c'est un très beau poisson. Je prends mon temps, mais elle se balade en latéral et ne relâche rien. Un promeneur me rejoint et me dit "çà doit pas être vilain !" ce que je lui confirme sans pouvoir estimer le poids du poisson. Finalement, la carpe glisse dans l'épuisette après 20 minutes d'effort. C'est un poisson massif qui accuse sur le peson un poids de 18 Kgs tout rond. Séance photos puis remise à l'eau de ce poisson en parfaite santé, et sans aucune marque de piqûre. Il s'agit de ma plus grosse prise sur ce plan d'eau.

Dans la soirée, deux autres carpes viennent user les piles des détecteurs. Le bilan de cette journée est très positif, 10 carpes pour un poids moyen de 9.6 kilos. La session n'est pas terminée, mais la suite sera beaucoup plus calme puisque les 36 heures restantes me permettront de sortir deux nouvelles carpes et de décrocher une seconde fois. 

Bien sûr  je suis entièrement satisfait, par cette approche j'ai atteint l'objectif que je m'étais fixé. Je pense que deux raisons expliquent l'arrêt de l'activité des carpes. Tout d'abord, la pression de pêche était importante à partir de vendredi soir, comme bien souvent, et  il est certain que le matraquage des plombs est une alerte pour les carpes et signifie que le jeûne à sonné. C'est une configuration type enduro. D'autre part, l'arrêt du vent dans l'après midi n'a pas joué en ma faveur pour la suite de la session. Mais ce vendredi m'aura apporté de bien belles sensations, et une fois de plus des souvenirs plein la tête. Je repars avec la banane et sûr de mon approche pour les prochaines sessions qui s'annoncent. En attendant de nouvelles émotions, l'amorçage d'accoutumance continue...

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Gravière de l'Ain mai 2007

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Article de couzchain publié le 12 Juin 2007 à 17:17 dans le blog PASSION CARPISTE
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Après un week-end, quatre jours de bonheur tranquille, il est maintenant l'heure de se replonger dans de la pêche pure. Mais qu'elle ne fût pas ma surprise lorsque j'enjambais le premier pont qui traversait ma chère Saône. Elle était tout bonnement en légère crue et encore impraticable. Lorsque je suis parti jeudi, les carpes avaient déjà été coupé dans leur frai à cause des importantes chutes d'eaux du lundi et de la fraîcheur. Tout cela ajouté égal rien de bon pour la pêche. Pour justifier ma théorie j'appelle Lucien, le spécialiste de la Saône, et il m'apprend qu'il n'a fait que deux poissons ce week-end. Un bien triste résultat sur un poste maintes et maintes fois éprouvé à cette époque de l'année. Pour une fois que nous avions, avec Adrien,  prévu une session en rivière, c'est malheureux. Je lui téléphone et après une brève concertation nous envisageons le plan B, direction une gravière locale et ses carpes de bonnes tailles. D'après le garde, elles auraient fini de frayer un peu plus tôt, une maigre consolation par rapport aux formidables communes de Saône.

Nous arrivons donc lundi matin sur la gravière et là encore surprise, aucun carpiste installé. Première bonne nouvelle au moins. Toute la superficie pour nous tout seul, où allons-nous nous installer ? Les choix de poste sont multiples et finalement nous en choisissons un qui nous permettra de changer de pêche en cours de semaine si cela est nécessaire. Après un sondage en règle, nous tombons sur un spot qui nous paraît prometteur. Un fond qui monte jusqu'à 2,50 mètres et qui tombe à 4 mètres en à peine quelques tours de manivelles de moulinet. Un véritable mur s'étale devant nous, et ce sur une bonne longueur. On pourra l'exploiter tout les deux et allier notre approche. Les carpes doivent certainement passer au pied de cette cassure, j'appellerais cela une sorte de couloir de liaison entre deux zones(soit de tenue ou de nourriture).

Nous allons amorcer ce spot avec des pellets de 9 et 15 mm pour créer tout de suite une zone olfactive très marquée afin d'attirer au plus tôt le poisson blanc. Nous y déposons aussi quelques bouillettes sur une base carnée et avec un mix prévu pour une pêche à moyen et long terme. On est là pour une semaine et on va laisser travailler les bouillettes tranquillement sous l'eau, nul besoin de se presser. Je place une canne sur le haut fond et une au pied de la cassure, histoire de voir où les carpes passent. Je plancherais plutôt pour le bas qui me paraît être un guide naturel. Ma troisième et dernière canne sera quant à elle mise au plus près d'une île entre de petits herbiers immergés. Les carpes s'y sentent généralement en sécurité et les poissons y sont assez souvent.

La première nuit est plutôt timide et seulement 2 carpes de prises, une sur chacun de nos coups respectifs. Une sur le haut et une sur le bas de la cassure, difficile pour le moment de savoir où elles passent réellement. Mais ce qui nous chagrine le plus, c'est qu'une des deux carpes est pleine de laitance et nous laisse quelque peu coït. Nous replaçons cependant nos cannes pour une journée qui s'annonce extrêmement chaude. Le soleil est à son apogée quand Adrien m'interpelle. Il vient de voir des carpes rassemblées sous des arbres immergés, un signe annonciateur de catastrophe pour la pêche. Les carpes se préparent bel et bien pour une seconde frai. La première ayant aussi été interrompu par la pluie et les baisses de températures que cela engendra. La fin de journée fût tendue et une question venait nous hanter l'esprit. Arrêter ou continuer la session ? La malchance me poursuivrait-elle ? Troisième fois qu'une de mes parties de pêche est dérangée par la frai.

Finalement nous changeons totalement notre stratégie de pêche et restons jusqu'à la fin de la semaine. Cela payera t'il ?

                

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