J ai u l occasion de pas mal observer les carpes, je trouve celles ci peut méfiantes.
les carpes apprennent vite et il n'est pas rare que nos montages soient inutile.
J'insiste souvent sur les derniers centimètres avant l'appat d'hameçon et pour cause!
Merci de toruver des trucs comme cette video et de la proposer ici.
maco Capa
Ecrit par macocapa le Jeudi 27 Novembre 2008 à 21:16
merci a toi jokimouline pour cette superbe video on sent dans tes propos que tu a un grand respect pour ce magnifique poisson qui et la carpe malheureusement peu de pecheur son comme toi continue le combat cela en vaut la paine je suis avec toi a +
raoul
Ecrit par raoul le Vendredi 28 Novembre 2008 à 20:06
Merci pouir votre soutien les gars, d'autres non pas le même avis que vous et ne m'aime pas trop, mais c'est ce qui rythme ce blog le dialogue,
Pour faire suite à un article récent, voici ma méthode pour fabriquer des plombs écolos.
Personne n'ignore l'impact du plombs sur la pollution des eaux.
Je fabrique donc mes plombs avec des galets
Lundi 10 Novembre, le temps me permet une session complète. J'ai pu tester ces plombs maison :
Avantages :
-l'inertie est plus importante au lancer. J'ai été impressionné par la distance à laquelle j'ai pu lancer, sans donner plus d'effort qu'avec des plombs classiques.
-Les économies
-Le coté écolo indéniable. Voici quelques sites qui vous informeront sur la pollution induite par le plomb . Cette année, j'ai perdu pas moins de 2 kilos dans l'eau. C'est décidé, je change de méthode !
Inconvénient : au ramener, le galet racle le fond en donnant des a-coups, ce n'est pas très linéaire. On croirait avoir une petite brème.
Il faut : des galets, des émerillons de 6, de la corde à piano (ou du fil de fer) et de la résine à 2 composants
(j'ai choisi du scellement chimique).
Meuler les galets avec un disque à matériaux : faire une entaille de quelques millimètres sur la tranche qui accueillera l'émerillon :
Couper des morceaux de fil de fer
La résine est généralement en deux composant.
Tant qu'ils ne sont pas en contact l'un avec l'autre, le produit se conserve
Procédez par temps froid, et refroidissez la résine avant de l'utiliser, elle durcira moins vite, vous laissant le temps de travailler plus de galets
Préparer une petite noix permettant de faire environ 5 galets. Au delà, la résine durcira et votre préparation non utilisée sera fichue. Mélanger correctement.
Maintenir un morceau de fil de fer entre deux doigts. Glisser un émerillon
Glisser le fil de fer au fond du trou et le maintenir en place
Prendre une petite quantité de résine mélangée.
"Tartinez" le trou pour le reboucher. Ôter l'excédent qui risquerait de couper le fil de pêche.
Et voilà le plomb terminé. Le temps de séchage est très rapide (moins d'une demi/heure).
Un p'tit coup de lime pour enlever les aspérités et zou à l'eau
CHNV10, cela fait maintenant deux mois que j'ai fabriqué mes plombs.
J'avoue que l'odeur de résine est restée tenace pendant plusieurs semaines mais maintenant plus aucune odeur ne subsiste. Il faut donc fabriquer ses plombs écolos longtemps à l'avance.
bonjour a vous LaMagie me demandai qu'elle resine utilise vous (le nom, ou vous la trouver) parcequ'il y en a beaucoup de type different.
merci de votre reponce.
Ecrit par weed_carp53 le Mardi 5 Mai 2009 à 18:39
trop bien l'idée, dés que j'ai l'occasion de récuperer des gallets je m'y met.Encore bravo pour l'initiative.a+
Ecrit par phil77 le Mercredi 13 Mai 2009 à 17:18
Le plomb, le saturnisme, la pollution etc. d'accord, c'est un fait et il vaut mieux se tourner vers autre chose. Mais est-ce qu'une résine bicomposante faisant des stations prolongées dans l'eau est vraiment ce qu'on pourrait appeler "écolo"?
Par principe de précaution, j'hésiterais... D'autant que si elle a perdu son odeur à présent, c'est peut-être bien parce qu'une molécule en a été lessivée par l'usage...
Sinon le bricolage est sympa ;)
Ecrit par demno le Mercredi 9 Février 2011 à 18:10
Salut !
Effectivement, laisser plusieurs kilos de plombs dans la nature en pêchant c'est pas bien ! je suis le premier coupable, enfin je l'étais, j'ai depuis trouvé de nombreuses solutions, notamment une quasi similaire à la votre.
l'idée du galet est bonne, par contre la résine...c'est carrément pas écolo ! c'est même une des pire saloperie pour l'environnement marin ! époxy, polyester, et tout type de colle industrielle sont à proscrire !
voilà des pistes pour la colle :
-faire fondre du suif mélanger avec de la chaux vive en poudre jusqu’à consistance de mortier incorporer de la filasse. Ce mastic ne craint pas l’humidité, et il devient aussi dur que le galet.
-colle forte ébénisterie à base d'os et de nerf facilement"trouvable" dans le commerce
kénavo !
Ecrit par breizhonic le Vendredi 26 Août 2011 à 13:14
La grande diversité des postes ainsi que des distances de pêche, des natures de fond… oblige à adapter constamment les montages. Plus que le choix du matériel ou des esches, c’est cette terminaison de la ligne qui influe directement sur la qualité et surtout la quantité des départs et des prises !
Dans tous les types d’eau quand la distance de pêche est inférieure à 50 m, le montage coulissant permet de tromper même les poissons réputés difficiles car très souvent piqués et relâchés. L’emploi d’un bas de ligne plutôt long, 40 cm, et d’une plombée minimum, de 20 à 50 g, aboutit au fait que lorsque la carpe engame et lors des secondes qui suivent, elle ne sent aucune résistance suspecte. Lors d’un départ, il convient de ferrer de façon à piquer correctement la prise. Ce montage est issu des pratiques traditionnelles et simple à mettre en œuvre. Il est préférable à tout autre à chaque fois que c’est possible.
Il convient d’installer tout d’abord la perle potence après y avoir accroché un plomb d’Arlesay d’un poids minimum, en fonction de la distance à atteindre et éventuellement du courant. Une perle amortisseur est intercalée avant de fixer le Nylon issu du moulinet sur une des extrémités d’un émerillon baril, sur l’autre est fixé le bas de ligne.
Le montage décollé
Il est très délicat sur fonds vaseux d’employer un montage classique. La vase rarement homogène est composée de débris dans lesquels le bas de ligne et surtout l’hameçon risquent de s’accrocher. Certains pêcheurs utilisent avec une relative réussite le montage décollé sur toute sorte de fonds différents, mais il s’impose vraiment quand l’épaisseur de vase est importante. Utilisez un plomb de type trilobé qui grâce à sa forme, ne s’enfonce pas trop profondément. Un émerillon baril est emprisonné entre deux perles coulissantes, elles-mêmes bloquées par des butées. La distance séparant l’émerillon du plomb accroché à l’extrémité du Nylon dépend de l’épaisseur de vase.
L’esche utilisée sera une bouillette flottante mais il est également possible d’escher des graines. A condition toutefois d’intercaler entre elles un matériau flottant comme liège, mousse, polystyrène… Pour décider à quelle hauteur évoluera l’appât, il suffit de pincer sur le bas de ligne un petit plomb. Avant de lancer le montage sur le poste, il est prudent de vérifier son efficacité en le trempant dans l’eau à proximité du bord.
Le montage hélicoptère
Ce montage permet de pêcher à grande distance sans risques d’emmêlement lors des lancers. Un plomb de type missile d’un poids d’au moins 100 g est accroché au bout de la ligne et c’est lui qui grâce à son parfait aérodynamisme, entraîne l’ensemble du montage. Un tube silicone rigide long de 50 cm, est bloqué en partie haute par deux plombs mous de 5 g chacun. En partie basse, une perle amortisseur est installée entre la gaine et l’agrafe.
Un bas de ligne court, 20 à 25 cm, est attaché directement à la perle potence. Le tube rigide est plaqué sur le fond grâce aux deux chevrotines. Lors de la touche, l’inertie du montage provoque l’autoferrage. Il est impératif que le tube silicone soit plus long que le bas de ligne pour éviter l’emmêlement. Mais il faut également tenir compte à ne pas pêcher trop fin, 30/100 minimum, pour éviter de rompre la ligne lors du lancer et de voir partir le montage seul.
Le montage de fuitee
Ce montage a été conçu afin de limiter le nombre de fosses touches. Le principe consiste à monter une plombée lourde, de 80 à 150 g et plus, non coulissante. Son inertie offre une résistance immédiate dès la touche pour que l’hameçon se plante dans la bouche de la carpe. Certains poissons devenus particulièrement méfiants engament et recrachent rapidement l’appât ce qui occasionne de si nombreuses fosses touches. Le montage de fuite est également appelé autoferrant.
Un anti-emmêleur souple d’une longueur d’une dizaine de cm, est monté sur le fil issu du moulinet. Un plomb de type boulet, est accroché à l’agrafe de la perle potence fixe. A l’extrémité du Nylon, un émerillon baril est installé. L’autre extrémité reçoit le bas de ligne. Une butée vient maintenir l’anti-emmêleur afin qu’une partie de l’émerillon y entre. Sur ce type de montage, le bas de ligne est plutôt court, 15 à 25 cm, pour réduire au minimum les mouvements possibles de l’esche.
Le montage flottant
Il n’est pas rare que des herbes aquatiques tapissent le fond sur une hauteur de plus de 50 cm. Ces zones sont tout à fait propices à une fréquentation régulière des carpes. Peu pêchées sur ce type de postes, elles se croient en sécurité. Le montage flottant permet de pêcher à la profondeur désirée voire jusqu’à la surface en l’absence de courant.
Une olive longue d’un poids nécessaire pour stabiliser le montage est bloqué côté moulinet par une butée, côté bas de ligne par un petit plomb. De la distance séparant le plomb de la bouillette dépend la hauteur à laquelle celle-ci évoluera. Le Nylon est accroché à une extrémité de l’émerillon baril, à l’autre le bas de ligne. Long d’une trentaine de cm, il se termine par une perle flottante puis un hameçon à œillet. Que ce soit bouillette ou graine, l’appât est obligatoirement flottant. L’olive étant bloquée sur le montage, pas besoin de ferrer. Le poisson se pique tout seul car le montage est autoferrant.