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Articles de pêche de la carpe associés au tag evolution-carpe-54

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Je ne suis pas venu pour ça !

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Article de Dadou publié le 29 Avril 2010 à 16:14 dans le blog évolution-carpe Mag
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Nous somme mardi 27 Avril; il est environ 17 h quand ma femme me dépose au bord du grand étang sous Sainte-Anne, où je rejoins Jean-Claude, déjà installé depuis un moment, et qui a déjà eu une décroche sur un hameçon émoussé.

C'est sous une chaleur étouffante d'air de vacances avec le nombre affollant de pêcheurs de truites, carpistes, pêcheurs au coup et ceux qui se tapent la bronzette, que je m'installe à gauche de l'ami J-C. Personnellement, la pêche dans cet étang sera difficile, car depuis le début de l'année, l'eau a pris une teinte verdâtre et, d'après certains carpistes pratiquant ce plan d'eau plus souvent que moi, les carpes deviennent plus difficiles !

C'est à la vitesse d'un gros escargot que je monte le rod-pod, puis place une bille flottante fluo rose de la marque Martin S.B (je fais un grand coucou à Jean-Philipe qui fait partie de cette team) sur le 1er montage, et sur cette bille, je place un gros lupin-maison pour faire un montage équilibré du tonnerre. Sur les 2 autres cannes, je reste sur mes lupins !

Une fois les cannes eschées et les montages prêts, je ne les jette pas à l'eau tout de suite, car je préfère amorcer pour me faire une petite idée de ma distance de pêche. Pour cela, je balance quelques pellets de 15 mm extrudés sur le coup. Puis j'y lance mes montages.

Je prends le siège, un bain de soleil, et papote avec Jean-Claude et Pascal qui nous a rejoints.L'étang, malgré sa moche couleur verte, est une vraie marre d'huile; pas un pet de vent ! En bordure se trouvent des milliers d'alevins qui se font pourchasser par des truites rescapées.

Le soleil est derrière nous quand, soudain, une belle touche survient sur une canne, s'arrête, repart, puis s'arrête de nouveau. Celle-ci me fait penser à celle de samedi, lors de la pêche de nuit ! Je me lève pour vérifier s'il ne s'agit pas d'une touche à revenir (elle s'est produite sur le montage équilibré de la bille flottante fluo et lupin).

Je regarde l'écureil bas, et le fil qui se tend et se détend. J'attends qu'il remonte pour ferrer; bingo : le poisson est pris ! La canne plie et il trace la route, mais la défense me paraît bizarre. Il arrive à vive allure vers le bors, et montre le bout de son nez.

Nous avons compris qu'il ne s'agissait pas d'une belle habituelle; à 1ère vue, nous pensons à un Amour blanc, car le poisson se retourne en surface et paraît bien clair, mais la défense nous laisse septiques ! Il emmène un montage au passage; la grosse galère ! Pascal se charge de la canne emmêlée.

Le poisson remonte en surface, Jean-Claude l'aperçoit et confirme que ce n'est pas un Amour blanc, mais ..... un brochet de belle taille ! Je n'en crois pas mes yeux; Pascal non plus ! Je prie pour que Maître Esox ne coupe pas la tresse ! J'arrive tant bien que mal à le ramener au bord et le mets dans l'épuisette de Jean-Claude. Il a mordu sur une bille de Jean-Philipe; vraiment un coup de chance !

Je le place sur le tapis de réception et le mesure : 87 cm, et un ventre bien gras ! Je me doute qu'il a dù manger de la truite, car en regardant bien, il lui reste un morceau de fil enroulé sur les dents (que je ne tente pas d'enlever), et une dent cassée, certainement lors du combat, mais ce n'est pas très grave ! Après la scéance-photo et vidéo, remise à l'eau de mon nouveau record perso.

Le reste de la soirée est calme; la chance était avec moi et ça n'arrivera peut-être pas de sitot !

 

       

                    

 

 

                                                                                Dadou

Thème: Ethique et comportements | Département: Meurthe et Moselle (54) Lien permanent | Voir les 9 commentaires
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Ce n'est pas toujours simple !

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Article de Dadou publié le 29 Avril 2010 à 05:41 dans le blog évolution-carpe Mag
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Nous voilà avec les 9 fameuses pêches de nuit sur notre secteur, sur un étang de 22 ha réputé difficile, en raison de trafic de gros poissons par certains, et à cause de pseudo-carpistes qui, algré l'interdiction de mettre les carpes en sac, ne s'en privent pas et, finalement, les poissons crèvent de stress ou lors de mauvaises manipulations (les poissons ont le temps de récupèrer) ! A non avis, il y a une forte diminution de carpes dans cet étang qui a plus de 35 ans !

Il ne faut pas rater cette 1ère nuit; cela permet de se remettre en question quand on affiche plusieurs capots ou quand les poissons sont mordeurs (savoir pourquoi); ce qui peut aider sur les prochaines sorties.

Samedi matin, à 9h30 :

J'ai donné rendez-vous à Tof pour prendre une partie de mon matos que je ne peux pas mettre dans la voiture. Une fois tout le bordel fourré ici et la, direction le grand étang pour choisir notre poste qui est, pour moi, le même chaque année.

Pour cette session, nous serons 5 carpistes sur le même côté sur environ 100 m. Il y aura Pascal, Stef son beauf, le jeune Max, mon beauf Tof, et moi pour quadriller tout un secteur en espèrant toucher quelque chose ! Tof et moi sommes les 1ers sur les lieux. En face, quelques carpistes sont déjà en place depuis hier soir; ce qui n'est pas juste (ici, rien ne l'est).

10h et des broutilles:

Pendant que nous installons les rods-pods, le jeune Max se fait déposer par sa mère; il est chargé de rapporter le bois pour les barbecues de midi, ce soir et demain midi. Nous l'aidons à rapporter les affaires sur son poste, à droite de Tof. Une fois le jeune sur son emplacement, nous commençons à escher nos montages; Tof de billes flottantes, lupin et noix tigrées.

Je décide de tester mes fameux lupins-maison, pour voir si ça marche aussi bien que dans les petits plans d'eau près de chez moi. Puis nous lançons les lignes un peu au hazard, sans amorçage (nous le gardons pour la fin de journée). Il ne reste plus qu'à attendre le reste de l'équipe, qui se pointera vers 14 h !

 

    

                                 Mon poste                                                                      Poste de Tof

   

                             Le poste de Max                                                           Une partie de l'équipe

Le soleil commence à chauffer sérieusement et l'étang est lisse comme un miroir. En bordure, on peut apercevoir des milliers d'alevins en compagnie de perches. Sur l'autre rive un peu plus herbeuse, il y a une parade de brèmes (qui dansent pour leur fraie). Maintenant, il est l'heure, pour les gourmands que nous sommes, de manger des côtes de porc marinées et des saucisses sur un barbecue de fortune.

 

                                            

                                                                             Miam miam !

14h et des puces :

Le reste de l'équipe arrive. La voiture du beauf de Pascal est pire que la nôtre : chargée jusqu'en haut ! Après les salutations d'usage, avec nos ventres remplis et la flemme, nous décidons de monter les tentes. Un départ timide survient sur une de mes cannes; je regarde l'écureuil monter, puis le fil tire, s'arrête, et repart de plus belle.

Je décide de ferrer, quand celui-ci repart. Je sens une masse lourde filer droit devant et bifurquer à droite vers le bord (où sont les autres rods-pods). Là, ça craint ! Mais je garde conctact avec le poisson qui passe au-dessus des lignes de Tof. Mais je doute pour celles de Max qui a levé les cannes un peu trop haut !

Ca ne loupe pas: le poisson prend une de ses lignes, puis 2; trop tard, je ne peux rien faire et ne contrôle plus la situation ! Quelques secondes plus tard, le poisson se décroche du fait qu'il n'y a plus de tention sur le fil. Dommage; j'aurais ouvert le bal avec mon 1er poisson de l'année dans cet étang !

Je tente de replacer la ligne au même endroit; ce qui m'est impossible car je l'avais lancée au hasard ! Peu importe, nous verrons ça en soirée, pour la précision ! Cette décroche a, malgré tout, remonté le moral des troupes, et nous reprenons nos activités de montage de toile pour essayer de placer le plus de choses à l'ombre.

l'après-midi passe tranquillement avec des histoires de pêche et des anecdotes de pêcheurs. Nous arrivons en soirée et nous ne sommes que 4 car Stef est reparti pour revenir plus tard. Il est temps de casser la croûte (si les poissons ne sont pas décidés, nous si) !

 

                                           

                                                               Pascal, comme à la maison !

Pascal a prévu poële, beurre, échalotes, ect. Quant à nous, rebelote : saucisses sur le tas de braises, en attendant les touches. Quelques bips viennent perturber le repas mais pas de vrais départs.

Cette décrche me travaille un peu; je me demande pourquoi je ne touche rien sur les autres cannes eschées aussi de lupin. C'est en relevant les lignes que je comprends ! Le montage sur lequel j'ai enresgistré le départ a un bas de ligne d'environ 20 cm, alors que les autres font moins de 15 cm.

Une rapide vérification odorante confirme que les montages plus courts étaient dans la vase, et que le plus grand était posé limite dessus. Il est un peu tard pour changer tout ça car la nuit commence à tomber, et il faut déposer notre amorce et nos lignes avec le bateau-amorceur de Pascal ! La nuit est bien présente quand nous avons fini de placer les dernières lignes. Nous nous retrouvons à papoter tranquillement autour du feu, avec les piafs qui chanteront jusqu'au petit matin.

1h et des poussières :

Il est l'heure de nous coucher, en espèrant que cette nuit sera prometteuse (mais, pour moi, le doute persiste sur un éventuel capot). Je suis au chaud dans mon duvert quand Tof et Pascal m'appellent pour me dire qu'il y a un problème avec le jeune. Je m'attends au pire, surtout avec Max qui a toujours de quoi faire avec les vieux que nous sommes !

 

   

                                                         Le super bivouac de Max la menace

Quand j'arrive devant sa tente, je suis mort de rire; tout est monté à la niche-boule, rien ne tient, tous les pics ne sont pas montés, tout tient avec rien ! De plus, la toile est trop petite pour le bedchair que je lui ai prêté; ses jambes dépassent jusqu'aux genoux Tof lui tire les pattes et lui dit qu'il aura moins froid par terre dans son duvert que les pieds à l'air (il n'a pas tord).

Pour une fois, Max fait ce qu'on lui dit ! Et chacun retourne dans son biwi pour une nuit calme (pour moi) et quelques bips pour les autres. La nuit est fraîche, et difficile car il y a longtemps que je n'ai pas fait de nuit complète au bord de l'eau avec le chant des piafs (il faut s'y faire) !

Au petit matin, je suis le 2ème debout, Stef pêchait déjà la friture pour faire des réserves de vifs pour l'ouverture du carnassier le 1er Mai. Pascal se lève et me rejoint. Après avoir papoté un peu en regardant le soleil se lever, je retourne me coucher pour rouvrir les yeux vers 9h. La matinée passe aussi tranquillement que les heures qui ont précèdé; c'est le calme plat malgré quelques sauts de carpes ici et là. C'est à midi que Tof et moi concluons que nous sommes capots sur cette session de nuit ! 

                                           A charge de revanche; je n'ai pas dit mon dernier mot !

 

 

                        

 

 

                                                                                           Dadou

Thème: Pêche de nuit | Département: Meurthe et Moselle (54) Lien permanent | Voir les 3 commentaires
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Résultat sur mes essais au lupin

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Article de Dadou publié le 27 Avril 2010 à 09:19 dans le blog évolution-carpe Mag
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Cet article est plutôt pour ceux qui, comme moi, aiment pêcher à la graines en amorçage ou comme esche.

Ca fait un petit bout de temps que je tente de petits essais sur un petit étang près de chez moi avec une graine que je trouve délaissée par les carpistes inconditionnels de la bouillette arôme goutte d'eau : le lupin !

J'ai appris à connaître cette graine grâce à mon ami LaMagie qui l'utilisait en amorçage ; je la trouvais assez attirante pour mes yeux et ceux de nos chères compagnes de jeu, mais je n'ai pas eu assez de temps pour approfondir la chose en Saône.

J'ai retenté l'expérience en 2009 sur un étang de mon secteur; ce qui m'a permis de sortir beaucoup de beaux poissons. Mais l'hiver et les tempèratures nocturnes qui ont du mal de monter ont pour effet de retarder le réchauffement des rivières, lacs, étangs et canaux, d'où capots à répétition pour certains, ou touches  timides sur des poissons encore engourdis.

C'est pour cela que, en ce début de saison, j'ai voulu tenter autre chose que les billes, et revenir à l'appât naturel qu'est le lupin. Pas n'importe lequel ; celui qui vaut de l'or et me sert de sauve-bredouille du moment !

C'est avec une recette simple que je suis arrivé à faire un lupin hors norme supérieur à la bouillette, pour le moment, mais avec un petit défaut (il y en a toujours un; l'appât miracle n'existe pas), mais pas assez sélectif. On attrape des carpes (entre 2 à 6 kg), et de beaux plateaux de brèmes et tanches; il arrive qu'une mémére prenne l'appât : la cerise sur le gâteau ! On ne sait jamais sur quoi on va tomber, mais ça vaut tout de même la chandelle de l'essayer !

Chacun y va de sa propre préparation et coloration, car même la couleur joue une grande inportance (je privilègie la couleur jaune; un jaune bien pétant, un jaune naturel genre paëlla). Et l'arôme naturel, ou on ajoute un bon booste fruité (le choix est vaste).

En ce qui concerne la préparation, il ne faut pas se prendre la tête car le lupin est, pour moi, la graine la plus facile à travailler; elle gonfle à merveille et il faut souvent surveiller que les graines ne soient pas hors de l'eau, surtout une petite quantité en bocal (suffisant) où tout est placé (graines, arôme et colorant).

Une fois les graines bien gonflées, les cuire avec l'eau du bocal (s'il en manque, ajouter un peu d'eau de source); ne jamais prendre l'eau du robinet, même pour le trempage ! 20 minutes suffisent pour cuire les graines de lupin qui serviront pour escher.

Les remettre ensuite dans le bocal avec un peu d'arôme et de sucre, et placer le tout au réfrigérateur. au bout de quelques jours, les graines de lupin seront enrobées dans une sorte de gelée comme la noix tigrée, et elles auront 100% d'arôme; prêtes à l'emploi ! Mais attention à ne jamais laisser les graines au soleil, car elles tourne vite !

Voici quelques prises que j'ai eues au lupin cette année (2010) sur des coups du soir :

 

    

    

    

    

   

                                          

 

                                        

                                                                                Dadou

Thème: Appâts et amorces | Département: Meurthe et Moselle (54) Lien permanent | Voir les 6 commentaires
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Petites deviendront grandes !

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Article de Dadou publié le 10 Avril 2010 à 11:15 dans le blog évolution-carpe Mag
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Après quelques petits essais, c'est aujourd'hui que je dois vérifier mes dires : le lupin est'il l'appât du moment ?

17h10 : Tof m'appelle sur le portable pour me dire qu'il est dans la cours. Je lui demande de ne pas bouger; j'arrive, juste le temps d'enfiler des fringues de pêche et prendre le matos pour un nouveau coup du soir. 5 minutes après, nous sommes à l'entrée des étangs.

Un coup d'oeil; avec ce beau temps ensoleillé, il y a foule ! Je reconnais la voiture de l'ami J-C qui est avec sa fille Camille, et Pascal. Nous nous arrêtons pour les saluer et leur demander ce qu'ils ont fait de beau. J-C m'annonce que la veille, en bout d'étang, il a posé 6 carpes sur son tapis, en 2 heures; un speed-fishing réussi pour lui !

Mais ce n'est pas pareil aujourd'hui, car un carpiste véreux, un carpeux, l'avait vu sortir ces poissons et il a pris sa place (eh oui, il en reste encore des "comme ça") ! Il me demande où je vais m'installer; je lui annonce que je retourne au même endroit que lundi (où j'ai attrapé un carpeau au lupin).

Après avoir papoté quelques minutes encore, Tof et moi allons vers notre poste. Je lui demande de se garer derrière les buissons. J'ai remarqué un autre poste près du coin surnommé "la goulotte" et c'est là que je lui demande de se placer; je décide de ne pas décrocher du mien qui se trouve près d'un petit buisson qui surplombe l'eau.

Préparation des rods-pods et cannes eschées de 3 lupins chacune; Tof esche un montage avec une bille hot démon, un autre avec une bille ananas, une pop up fluo et un lupin sur le 3ème et 4 grains de lupin sur une 4ème canne. Une fois les montages à l'eau, j'avoine le secteur avec quelques pellets pour faire un petit tapis odorant. l'attente peur commencer.

Nous somme là depuis une heure quand un détecteur de Tof s'emballe sous nos yeux. Il se jette sur la canne et ferre amplement; voilà le 1er départ franc de Tof, et peut-être, à l'issue du combat, sa 1ère carpe de l'annér ! Le poisson ne semble pas vilain et se défend comme un diable. D'après J-C, l'eau atteint 12°C en bordure. Les poissons sont enfin sortie de leur léthargie !

1/4 d'heure après, le poisson est sur le petit tapis de réception de Tof; une belle commune massive que j'estime à 10 ou 11 kg . Tof, pour son 1er poisonn de l'année, veut en être sûr et, effectivement, le poids de 11 kg s'affiche au compteur ! Photo (qui n'a pas fonctionné, par ma faute Embarrassé) et remise à l'eau; et de une pour Tof qui en tremble encore. (J'ajouterai la photo dés que Tof me l'aura donnée)

30 minutes après, c'est à mon tour d'aller vers mes cannes, sur un beau départ franc; je prends la canne en mains et ferre, mais le poisson se décroche. En relevant la ligne, je constate que l'hameçon est entortillé avec le cheveux un peu à la niche-boule, donc impossibilité au poisson d'être pris correctement !

Je replace le montage démêlé plus ou moins au même endroit. Quelques minutes après, nous sommes devant mes cannes quand je vois le scion de celle de gauche trembler, suivi d'un départ sur celle du milieu, mais sans suite ! Nous retournons sur le poste de Tof; il suffit parfois de s'éloigner d'un rod-pod pour qu'une touche survienne !

 

 

Bingo, c'est le cas ! En effet, quelques minutes après, un départ direct fait hurler mon détecteur; je ferre enfin le 1er poisson de la soirée, devant J-C qui a déjà plié et nous a rejoints. Il ne semble pas costaud; je sens de nouveaux coups de tête et un autre carpeau, mais quelle vivacité !

Ces petits machins sont increvables ! Je dois batailler pour qu'il ne parte pas à gauche, dans le petit buisson, et qu'il ne s'emmêle pas sur les 2 autres lignes, à droite !

Au bout de 5 minutes de pur bonheur, je mets un carpeau sur le tapis; cool ! Et de 1 pour moi !

 

 

La soirée avance à vive allure dans ces moments-là ! Je relance le montage; on ne sait jamais ! Peu de temps après, c'est au tour de tof d'enregistrer une nouvelle touche, mais sans suite et toujours au lupin. Peu de temps après, un nouveau départ franc sur une de mes canne se produit; je ferre et un carpeau un peu plus gros et aussi nerveux que le 1er se pose sur le tapis de réception; et de 2 !

                                          

J'ai du attirer un banc ! Comme quoi une pêche de bordure simple et précise peut rapporter; peu importe la taille ! Il fait maintenant bien trop sombre pour relancer la 3ème canne et je décide de ne pêcher qu'avec 2 pour les minutes qui restent.

Il est presque 21h (heure légale pour plier); je commence à rembaler la 1ère canne quans un beau départ sans suite survient sur une autre encore à l'eau. Peu de temps après, une autre belle touche fait trembler le rod-pod sur l'autre canne. Je décide de me presser, de vite plier pour ne pas sortir et galèrer sur un poisson dont je n'aurais aucun contrôle, à cette heure (il fait déjà nuit).

Voilà encore une petite session en étang qui prouve que mes appâts étaient les bons ! Je vais continuer sur cette lancée et rattraper le temps perdu de cet hiver qui avait perduré !

2 jours après, je récidive sur le même poste avec une belle miroir d'environ 13 kg; et sur un amorçage de bordure à moins de 3 ou 4 m du bord; parfait !

                                          

 

 

                                                                            Dadou

Thème: Stratégie et tactique de pêche | Département: Meurthe et Moselle (54) Lien permanent | Voir les 7 commentaires
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