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On n'arrête pas de le dire et redire, notre patrinoine halieutique, la nature et le respect des rives, sont entres nos mains pour les générations future. Mais beaucoup l'oublie encore et continue à déverser des litres de merde, dit laisser des tas d'ordure en tout genre, et je trouve sa honteux ! Prendre un sac poubelle dans le coffre d'une voiture devient trop difficile, et comme l'un ne va pas sans l'autre, je ne vous parle même pas de l'état des poissons pêcher, et encore s'il y a remise à l'eau !

J'avais envie d'écrire cet article, pour une fois pour fâcher certains gobe-mouches des rives (sauvage). C'est au court de plusieurs partie de pêche, ou simplement en nous promenant ici et là, que ma compagne Barbara ma fait remarquée la propreté des gens, malgré un superbe décor qu'elle découvre ! Sac poubelle, couche bébé, batterie de voiture, pneu en tout genre, le pire de tous Mc Donalds, canettes alus, sans parler de ceux en verre, (en précisant que nous somme loin du temps des fameuses bouteilles à la mer).

Imaginer une superbe partie de pêche pendant vos vacances avec votre petites famille, tout peu tournée au cauchemar lorsque vous ou un de vos membres, ce coupe avec un objet divers laisser aprés une beuverie decampeur ou de pêcheurs d'un jour. La faute a qui ? Certainement pas des APPMA du coin qui propose en début d'année un grand nettoyage des rives, des rivières et étangs et dieux sait qu'il est dure de part chez nous de décidé un pêcheur ou autre dit participé. Les raison, une mauvaise entente, une publicité trop souvent vague ou inaperçue, mais surtout un mauvais esprit vis-à-vis des pêcheurs.

Lorsque je me rend au bord de l'eau, seul ou accompagnée, j'entends souvent les pêcheurs dire (regarde moi sa toute cette merde !). Et lorsque tu demande a cette même personne s'il participe au nettoyage de printemps, il te répond d'un air certains (je ne suis pas la pour ramassée la merde des autres !). Voilà la nouvelle mentalité des pêcheurs d'aujourd'hui, (la honte !).

Même ma compagne Barbara et choquée de voir à quel point l'homme peut être grade et rébarbatif, surtout lorsqu'il s'agie de respect, car même si le poisson-chat est considérer comme un nuisible, de les voir sécher en plein soleil vivant, mais surtout pire, en plein milieu de route. Ou est le respect ? Pour elle, un poisson reste un poisson, alors comme tout autres animaux le respect et de mise, pour le poisson-chat elle est consciente qu'il ne doit pas être remis à l'eau, mais qu'il mérite de mourrir proprement, et qu'il serait mieux dans un fossé, qu'en plein milieu d'une route. Elle n'a pas tord non !

Une autre façon de responsabiliser les enfants et les parents et de les sensibiliser à l'inportance de recycler et de respecter la nature, et de leur donner ainsi des éléments de réponses pour améliorer leur présent et leur avenir.

                                                  (la terre est si belle, ne soyons pas si bête !).

                                          Affaire à suivre !                                                              Dadou

Les aléas de la vie !

Bien cher à tous ami(s) carpistes et pêcheurs divers, cela fait bien un petit moment que je ne hante plus les pages de PowerCarpe et ceux de mon site perso, les raisons son celle d'un début de saison difficile, tant pour la pêche que pour ma vie personnel que professionnel. Mais les choses change, et une nouvelle vie ce trouve face à moi avec des hautes et des bas j'en conviens. Les leçons de conduite ce font désiré, ce qui engendre plus aucun déplacement possible sur tel ou tel plans d'eau ou rivière de mon secteur.

Vient après un licenciement prévu, car étant en arrêt de travail prolongé, cela ne plaît guère a mon patron qui pour lui, s'improvise médecin (encore un qui n'a rien compris). Ensuite pour finir changement de vie personnel, car j'ai rencontré une femme gentille qui sait me comprendre, m'écouté, sait ce que le mot Respect veux dire ! Je repars donc à zéro toute ma vie et Barbara sera à mes côtés pour partager mes sessions et mes moments fort dans ce monde qu'elle ne connait pas, ou très peu par mon site (Evolution-carpe-54), ou sur nos pages de PowerCarpe. Voili voilà le pourquoi de mon absence.

                                                                              Le retour !

Cela fait un bon petit moment que je n'ait pas remis un pied dans le monde carpiste, ce monde ou j'aime me retrouvé, en solo ou acconpagné, en plein coeur de l'hiver ou même le froid vous glacent les orteils, ou en pleine été sous un soleil de plombs qui lui vous laisse une trace de son passage lorsque vous avait le malheur d'enlevé votre tee-shirt, bref, la carpe et ses sensations me manque, et je ne compte pas en rester là ! Je ne suis donc pas du genre à gobé les mouches, surtout sur ce qui me touche, et c'est une fois de nouveau les pieds sur terre et toujours bien debout que je décide de retourner dans ce monde, mon monde (la carpe).

Jeudi, il fait beau, mais je n'ai nul envie pour le moment de trempé le fil dans l'eau, non pas par flaîme, mais plus par habitude, car j'aime lorsque je me rends au bord de l'eau sur un poste de pêche, me préparer ma petite place perso pour attirer dame carpe, surtout lorsqu'il s'agit si ont peu dire d'une (reprise du coup de main). Première chose qui me vient en tête et les fameuses pêches effectuer au lupin qui mon souvent sortie d'un capot, ou même rapporter gros !

Tout les ingrédients sont là, il ne reste plus cas, et c'est partie, un peu d'eau un peu de si, un peu de cela, et le tour et joué, elle n'ont plus cas gonflé. Voilà pour ce qui concerne ce qui me servira d'esche et d'amorçage, pour celui-ci nul besoin de me prendre la tête, il me reste un bon 25 kg de pellet, ce qui me suffira pour terminer l'année, un peu plus de 40 kg de maïs en grains lui aussi fêtera noël comme le premier. J'en prépare donc un peu plus ou moins 3 kg, ce qui est largement suffissant pour un amorçage rapide. Pour cette préparation je reste simple, de l'eau et hop l'affaire et joué, sans arôme, rien de rien, juste du naturel à 100%. Reste plus cas !

Dimanche, nous somme en début d'après-midi et nous avions prévue Barbara et moi d'aller tenter dame carpe pour moi évidemment et pour ma belle de mener la vie dure aux poissons-chats du secteur. Mais les choses ne vont pas être si simple pour moi car il me faut comme à l'époque des culottes courte porter du matos à l'os, et dieux sait ce qu'un carpiste à besoin. Bref tout reste simple pour moi, mon fourreau, et mon gros, très gros sac (matos carpe), le tout pour un poids total d'environ 40 kg de charge et je ne compte pas le petit matos pour Barbara à qui j'épargne cette corvée, seul sa présence me suffira.

Un petit coup d'oeil à la fenêtre, soleil avec ici et là quelques petit nuages inoffensif, malgré les dires comme d'habitude d'une météo qui nous annonce des orages violent (puff même pas peur !). Maintenant reste à nous rendre sur notre terrain de jeux. A peine un pas dehors et la chaleur d'un temp lourd et orageux ce fait toute fois sentir, mais pour le moment rien de bien méchant.

C'est au bout d'une bonne demi-heure que nous arrivons au bord des étangs ou il n'y a pas grand monde, ce qui n'est pas plus mal. Un coup d'oeil vite fait sur l'étang ou j'avais décidé de me rendre, peu de pêcheurs si trouve (3 carpistes, et 2 pêcheurs de brochet). Nous nous plaçons sur un secteur de façon à ne pas gêner les autres pêcheurs.

Enfin je peu posé (en transpiration) mon matos au sol. 1ère chose installé mon rod-pod, puis ma 1ère canne qui sera esché de 3 lupins arôme vanille, mais la 1ère galère digne d'un débutant, j'avais oublier de prendre mon aiguille à bouillette (le con !). Grosse panique pour moi, ce qui fait rire Barbara. Je réfléchi un peu et trouve dans tout mon bordel un petit morceau de fil de fer que je forme à la façon voulu. Une fois la chose faite je peu enfin escher mes cannes (quel nase !).

Avant de placer mon montage à l'eau, j'avais pris soin de prendre avec moi une boîte contenant environ 2 kg de pellets, je prépare mon 1er coup en amorçant celui-ci avec quelques pellets, puis place mon 1er montage, ouf en voilà une. Pour la deuxième canne je demande a Barbara de choisir une des billes arôme multiple que j'avais placé dans une petite vérine (pèche melba, banane, fraise, tutti fruitti, chocolat blanc, et pour finir cerise, avec laquel je n'ai jamais rien fait !).

En 1er lieu elle me choisi fraise, et lui fait sentir la bille et du même coup celle à la cerise, et lui redemande de nouveau son choix, ce sera cerise, je pense pour sa forte odeur fruité. Quelques-fois le choix d'une femme peu vous rapporter gros, et j'ai pu le constater à plusieurs reprise. Comme la 1ère j'ai procédé a un amorçage au pellet et place mon montage a quelques chose prêt du coup.

2ème galère lorsque je place ma canne sur le rod-pod celui-ci bascule de côté, pourquoi ? Et comme un gros neuneu je me rend compte que j'ai mis mon rod-pod à l'envers (le nul), la sa craint moi qui veux faire honneur a Barbara en lui montrent le monde carpiste, pour une reprise dur pour moi ! J'arrive tant bien que mal a replacé mon rod-pod, et replace les cannes et toc, le fil de ma deuxième canne et prise sous une patte, une minute après les 2 cannes sont enfin en place.

Puis prépare ma 3ème et dernier canne qui sera escher d'une bille flottante rose vif arôme pèche melba, puis y place un grain de lupin pour y faire un plus visuel. Voilà pour ce qui me concerne, maintenant je peu m'occupé du poste de Barbara et lui prépare sa canne et une amorce toute banal (amorce maison + maïs doux). J'amorce son poste qui ce trouve à environ 3 m en bordure, un grains de maïs doux comme esche et je lui lance sa ligne sur le coup car pour elle ce sera une 1ère au coup. Enfin nous pouvons vraiment nous reposé en regardant le flotteur et les libellules qui passe et repasse devant nous.

C'est au bout d'environ 20 bonnes minutes que Barbara enregistre sa première touche, je lui explique le principe et ferre son 1er poisson, un satané poisson-chat, ce qui la rend heureuse. Quelques minutes plus tard un petit paquet de bulles remonte en surface, et lui dit qu'il s'agit certainement de tanches, car les chats n'ont pas l'air très vorace.

Bingo une tanche un peu plus franche confirma mes dirent, l'élastique de son scion sort et le poisson oppose un peu plus de résistance et tente de prendre le large, mais avec un peu de doigté le poisson et mis dans l'épuisette, voilà la première tanche de Barbara qui n'en revient pas elle même, car j'estime ce poisson à environ un bon kg.

Le soleil maintenant joue à cache-cache avec de gros nuages, mais la chaleur écrassante et toujours bien présente, autour de l'étang les carpistes et pêcheurs de brochet commence à pliée bagage. Une touche rapide et directe ce produit sur une de mes cannes, enfin une carpe depuis tout ce temps. Je ferre, le poisson  bifurque directement sur la droite de mon poste pour ce diriger en direction de la bordure, ce poisson qui à bien voulu prendre mon esche flottante rose + lupin n'a pas l'air bien gros. peu importe c'est une carpe, et enfin montrer a Barbara un vrais aspirateur comme elles les surnommes, ce qui est chose faite.

C'est après un bref combat que le poisson rend les armes et je dit a Barbara qu'il s'agit d'un petit bébé, qu'elle ne fut pas son étonnement lorsque je lui dit cela. Une belle commune de couleur argent que j'estime à environ 7 kg, je la décroche, photos, vidéo et hop remise à l'eau.

Heureux je suis cela fait du bien de sentir le poisson au bout d'une canne et sous ses doigt. Je replace mon montage approximatif sur le coup et retourne en compagnie de Barbara, qui pique son 3ème poisson qui est un chat de nouveau. Peu de temps a prêt c'est une nouvelle tanche qui vient nous rendre visite, un peu plus petite que la première, gardons, chats, et tanches continue la dance pour Barbara qui me dit qu'il serait bien si je pourrait attraper une 2ème carpe avant de plier.

Moins d'une minute après une belle touche directe ce produit sur une de mes cannes et ce coup-ci avec la bille qu'elle a choisi (cerise). Là, le poisson une fois ferrer remonte en surface, puis trace la route droit devant lui pour bifurquer légèrement sur ma droite, je dit a Barbara qui film la scène que le poisson est un peu plus gros que le 1er, que ce n'est pas une commune ce coup-ci et mes dire fut une fois de plus bon, car il s'agit d'une belle miroir au couleur d'été qui ce présente à nous. Une fois sur le tapis de réception, le poisson n'a pas l'air du tout fatiguer pas le combat et ce débat à chaque prises de photos, l'enfer, nous arrivons malgré tout à faire quelques clichés puis remise à l'eau du poisson.

                        11 kg avec Barbara                                                            Aïe mon avant-bras !        

Petit coup d'oeil a mon avant bras droit ou avec les nageoires, la carpe m'avais laisser des marques sans gravité. Et de deux pour cette journée ou le temps devient de plus en plus lourd et orageux car lorsque nous reprîmes notre pêche au coup beaucoup de petite fourmies-volante nous tombent dessus et à la surface de l'eau ce qui provoque une frénésie alimentaire des poissons de surface. Il est tant pour nous de plier avant de prendre la sauce.

Je film le résultat de Barbara  qui a fait environ 4 kg de poissons, ce qui n'est pas mal pour une première pêche avec son homme-poisson. je rentre heureux d'avoir partagé cette première sortie pêche avec Barbara et lui montrer notre monde qui est celui de la carpe, celui de la pêche au coup bien sûr !

                                   Affaire à suivre !                                                             Dadou

Nous somme samedi, vers 5h. J'ai passé une nuit blanche, car il y a un w-e à ne pas louper; une nuit sur un petit étang (qui devient une résever à poissons-chats; donc plus difficile à pêcher avec ce fléau), mais comme avec le silure, bien présent chez nous, il faut faire avec !

Je suis fin prêt; matos préparé dans la nuit, nourriture préparée la veille par madame, et un carpiste blindé à toc. Aujourd'hui, ma femme me dépose à l'étang, car Tof a chargé sa voiture à la niche-boule (même un nain de jardin ne peut pas y entrer).

Nous déscendons le matos dans la cour, quand il arrive pile poil. Une fois le matos chargé, 1ère galère : le seau de maïs en grains cuit avec encore un peu de jus de cuisson chute à l'arrière, devant la banquette de la voiture (faute à madame, pour une fois) ! Je ramasse vite fait ce que je peux et nous filons vers l'étang, qui n'est pas loin.

Sur les lieux, toiles et parapluies sont déjà installés; peu mais bien dispachés ici et là. Parfait; personne le long de la rivière, où nous trouvons un poste qui semble tranquille ! Personne ne peut venir à droite car le chemin est bloqué par de gros rochers, et idem à gauche, car nous plaçons voiture et biwys sur le chemin drit et stable.

Un peu d'observations: l'étang est une marre d'huile; pas de vent et quelques bulles remontent un peu partout. Puis nous montons les rods-pods; Tof se met à environ 20 m à gauche de moi. Nous préparons nos montages qui sont tous eschés, pour ce début de matinée, de billes flottantes de couleur rose fluo neutre accompagnées d'un lupin arôme vanille, pour moi.

Tof fait de même mais avec des billes flottantes arôme cerise. Puis nous lançons les montages sur nos postes réspectifs, sans amorçage préalable. Tof a envie de pêcher la friture pour avoir un vif et monter une canne à carnassiers avant d'installer les biwys. Quelle galère : il faut 1h30 pour attraper un pauvre petit rotengle, car Tof, qui est carpiste depuis seulement 3 ans, a toujours gardé l'envie du carnassier.

Et c'est sous un ciel gris, humide et froid, que nous montons les chapiteaux, surtout pour protéger le matos en cas d'averse.

Maintenant, nous pouvons aborder plus sérieusement notre approche sur ce poste, et surtout faire venir les poissons ! Tof a préparé un seau avec un mélange de blé, pois chiches, maïs doux en boîte; moi un gros seau de maïs en grains, un sac d'amorce quelconque et des pellets.

J'ai envie de créer une large zône d'amorçage comme celle des pêcheurs au coup, pour attirer le menu fretin, gaver les poisoons-chats et attirer les carpes par tout le remue-ménage occasionné. En milieu de matinée, nous relevons les lignes qui n'ont enregistré que quelques petites secousses, par des poissons qui ont tapé dans le fil, ou des chats voraces, et préparons l'amorce que nous envoyons à l'aide de la pelle-louche.

Quand c'est fait, nous plaçons les montages sur les coups et l'attente commence. C'est long avant de voir enfin les premiers signes d'activité de poissons; quelques rotengles et gardons, puis d'autres un peu plus gros (carpes ou non) montent sur le coup !

Vers 17 h, une touche directe se produit enfin sur la canne de gauche ! Dans un 1er temps, le poisson fonce droit devant lui. Puis, quand je prends contact avec lui, il revient doucement vers moi. Ce n'est pas une petite carpe du début d'année (j'y suis abonné), et je sait qu'ici, certaines (peu nombreuses) frôlent les 20 kg !

Ma canne plie; le poisson semble lourd, mais ce n'est pas encore une belle de 20 kg ! Elle joue plus sur son poids que sur sa force et garde le fond; elle ne veux pas, dans les premier temps, être dominé. Je regarde Tof et lui signale qu'enfin, le poisson est à ma hauteur. Enfin une vrais carpe qui en veut ! Enfin, un vrais combat ! Super ! Je savoure chaque moment.

Elle montre quelques signes de fatigue au bout d'1/4 d'h mais ne veut toujours pas se montrer et continue à sonder le fond et faire fuir les vifs en surface tel un brochet; ce qui enrage Tof qui a eu tant de mal à en faire un ce matin et qui les voit partir en tous sens.

Impossible de la faire monter et voir de quoi il retourne ! Enfin, après quelques coups de tête supplémentaires, nous remarquons une superbe miroir aux couleurs à faire pâlir un peintre ! Ce n'est que la belle dans l'épuisette que je suis soulagé !

Sur le tapis de réception, tout va très vite : je la pèse (elle le mérite et, pour le moment, je suis le seul à prendre un poisson dans cette session), photo, présentation en vidéo et à l'eau ! Je suis super heureux (tel un gosse devant son jouet) ! Même le temps gris persistant ne change rien à la beauté de ses couleurs (il est vrais que j'ai une préférence pour miroir et koï).

Notre stratégie est bonne ! Le poisson est sur le coup, mais on a peu de mal; cela viendrait'il de l'eau qui a pris une sale couleur verte ? de carpistes qui se sont servis dans ce cheptel ? Pas de réponse, mais une chose est sûr: nous gardons espoir !

La journée passe calmement (même trop). Seules distrations de ce samedi : les carpes nous narguent sur le coup avec quelques timides remontées et un corbeau fait la navette avec, dans le bec, des poissons-chats abandonnés par des pêcheurs au coup tandis qu'un héron le guette pour lui piquer sa pitance.

La nuit arrive. Ici, cela signifie signe de bordel (j'entends par là que des jeunes viennent boire et fumer leurs joints. Jusque là, rien de mal, mais les bruits des portes qui claquent, la musique à fond, les sons des tam-tam toute une partie de la nuit sont aussi difficiles à supporter que le bruit des voitures qui passent toute la nuit sur la voie rapide, à quelques mètres de là).

Cela ne m'empêche pas de prendre une tanche d'environ 1 kg à la bille flottante, décrochée direct sans photo. Seul Tof enregistre une touche (de nouveau sans suite) en pleine nuit. Pour moi, c'est le calme plat avant de m'endormir vraiment bien sur le coup du matin, avec une tempèrature extérieure de 3°C, toile ouverte.

Vers 9h, j'arrive à ouvrir un oeil et mettre un pied parterre. Tof est debout depuis déjà un bout de temps; il n'a rien attrapé. Il ne nous reste plus que l'espèrance de faire un poisson avant de remballer à 15 h .

Pascal, qui pêchait plus loin en compagnie d'autres carpistes, vient aux nouvelles et nous raconte que deux carpistes sont arrivés "à tirer leur épingle du jeu" dans ces conditions pourries : une prise, placée à l'autre bout de l'étang avec une miroir de 13 kg, prise a 1h du mat et moi avec également une miroir de 13 kg et des pouces.

D'autres carpistes étaient présents mais ils pêchaient hors secteur de nuit, donc aucun mérite ! Voilà pour cette session qui nous semblait bénéfique en prises, mais qui est devenue une galère, pour ne pas changer !

                                    Peu importe, le plaisir et la convivalité étaient au rendez-vous !

                                                      Petite vidéo qui accompagne cet article !

                                                                                        Dadou

Peu après 9 h, mon portable se met à sonner. J'ouvre un oeil, moi la limace qui traîne encore au lit en ce 1er Mai. Un numéro s'affiche; je réponds et reconnais la voix de l'ami Jean-Claude qui est parti en session sur un secteur de nuit, sur la Meurthe (rivière).

Il me demande si je suis levé; je lui réponds que j'ai encore un oeil fermé, mais je peux ouvrir l'autre. Il m'annonce qu'il y a environ 1 heure, il a fait un beau poisson; pas une carpe, mais un beau silure ! Je veux savoir s'il est gros, et il me répond qu'il s'agit d'un joli bébé de 1,95 m pour un poids qui avoisine 50 kg, pris à la bouillette !

Il veut savoir si je veux passer car il s'agit de son record personnel ! Pas de problème; le temps de boire un bol de café et j'arrive. Il ne nous faut pas longtemps à ma femme et moi pour nous rendre sur le lieu de son campement. Après les salutations d'usage (toujours avec les yeux collés, pour moi, et un peu moins pour Jean-Claude), il est temps de prendre le record en photo !

Jean-Claude prépare une bâche, et nous allons tous les 2 chercher le poisson à l'abris dans l'eau, sous nos yeux émerveillés (autant pour ma femme que pour Jean-Claude, qui est pourtant un habitué).

Ensuite vient à Jean-Claude l'honneur de porter son poisson qui ne se laisse pas faire, et tente plusieurs fois de lui mordre les doigts.

Il en chie comme un diable pour prendre la pose avec ce satané poisson qui n'est pas lèger. Nous arrivons à faire quelques belles prises de vue et une vidéo de cette scène.

Vient ensuite la photo des 2 pêcheurs heureux de cette prise. Puis remise à l'eau de ce joli bébé de nos rivières qui devient de plus en plus présent, pour le plus grans plaisir de ceux qui aiment les sensations fortes.

Encore une fois bravo Jean-Claude qui se souviendra de son 1er Mai 2010, et merci de m'avoir fait partager ce moment exceptionnel !

                                                                                           Dadou