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Blog carpiste - Session 2009 à 2013 - page 8

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Suite de la prospection

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Article de TomSuncarpe26 publié le 26 Avril 2010 à 15:29 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le vendredi 16 avril 2010.

Je vais retourner pêcher sur le vieux Rhône, en dessous de Valence.

Cette session sera classée une nouvelle fois dans la section découverte. Je vais prendre possession des lieux, quelques kilomètres au-dessus du poste de la semaine dernière.

 

J’arrive sur place vers 17h30.

En une semaine de beau temps, le Rhône s’est très nettement éclairci.

 

Je prends ma barque avec l’échosondeur, pour repérer les zones de pêches intéressantes.

Je retrouve les mêmes digues que le weekend dernier, servant à casser le courant.

La tendance est plutôt sur un fond dur en roches et en galets.

 

 

 

 

Poste

 

 

 

Je me retrouve entre deux digues, formant une grosse cuvette. Le plus profond frôle les 9m d’eau, rejoignant la berge d’en face dans 1m de fond. Les abords du trou sont très pentus, avec des cassures très prononcées.

Je déroule deux repères pour marquer les différents niveaux de fonds.

 

J’installe mon rod-pod sur une pointe de digue, afin d’exploiter au mieux la zone de pêche.

 

 

 

 

 

 

 

Je dépose ma première ligne au pied d’un repère, sur la berge d’en face, dans 1.5m de fond. Le montage est esché au pellet de 25mm.

Pour la deuxième et troisième lignes, je les dispose dans la cassure, à gauche dans 3m et à droite dans 6m d’eau, près d’un autre repère.

Les hameçons sont garni d’un pellet de 25mm et d’une bouillette carnée.

La dernière canne eschée au pellet, va exploiter le côté droit, sur un petit plateau de roches.

 

 

 

 

 

Poste

 

Il est 19h, le matériel est opérationnel.

 

Depuis le weekend dernier, la température de l’eau a augmentée de 1.5°C, pour passer à ~13°C au lieu de 11.5°C. C’est encore froid, mais j’espère que le poisson s’alimentera.

 

A 20h, le scion de ma canne de gauche se courbe et le moulinet dévide quelques mètres de fils. Je bondis immédiatement, mais rien !

Peut être une brème ?

 

 

 

 

 

 

 

Je mange et me couche vers 23h.

 

Je suis réveillé au lever du jour, par une touche de brème sur la ligne de gauche.

Je ramène le poisson et retends le montage sur le repère.

 

 

 

 

 

Lever de soleil

 

J’en profite pour prendre de belles photos, du soleil levant sur le Rhône.

 

Encore un weekend qui ne s’annonce pas violent.

 

Vers 9h, je refais le montage de ma canne de droite, pour enfiler un plomb amorçoir avec un petit hameçon n°8.

Je ne vais pas perdre une miette de cette journée de pêche. Je prépare un amorçage à la farine, composé de maïs doux et de pellet de 7mm.

Je vais essayer de rapatrier les petits poissons et carpes, sur un coup de bordure.

 

Mais avec grande déception, cela ne paye pas.

Pas une touche de la journée !

 

Pour la nuit, je remets les lignes en place vers 17h.

 

Je me réveille comme la nuit précédente, avec une brème pendue à la ligne de gauche.

 

La nuit est une nouvelle fois très calme.

 

Vers 9h, je commence à plier, car je suis de repas de famille, à une heure de chez moi.

 

Le bilan est encore très maigre, le poisson n’est pas encore actif.

L’hiver a été long, cela se paye !

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Prospection vieux Rhône

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Article de TomSuncarpe26 publié le 26 Avril 2010 à 15:22 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le vendredi 9 avril 2010.

Je vais pêcher sur le vieux Rhône, en dessous de Valence.

Cette session sera classée dans la section découverte. Je ne connais absolument pas les lieux et souhaite découvrir les carpes qui s’y cachent.

 

J’arrive sur place vers 17h30. Le niveau de l’eau est assez haut, le poste est recouvert d’une petite zone marécageuse. Je m’installe dans les roseaux, avec les cannes disposées sur des piquets.

 

Poste

 

Je prends mon embarcation avec l’échosondeur, pour passer plus d’une heure à scruter les fonds.

Le terrain est très changeant, des anciennes digues immergées sont présentes, pour casser le courant en cas de forte crue.

La tendance est plutôt sur un fond dur en roche, mis à part la bordure devant moi, constituée de sable, avec quelques herbiers restant de l’année dernière.

La profondeur varie de 1.5m à 7.5m près de la berge d’en face.

 

Pour trouver le passage des poissons, je dispose quatre lignes dans différents fonds.

Une première sur la bordure de gauche, dans 3m, sur du sable. L’hameçon est garni d’un pellet de 25mm.

Je dépose la seconde ligne eschée de la même manière, sur les roches de la berge d’en face, dans 4m de fond.

Je présente le troisième montage entre deux digues, dans 6m d’eau, à la bouillette carnée.

Pour la dernière canne, je dépose la ligne au pellet, sur la berge d’en face, sur une digue de roche, dans 3m d’eau.

 

Avec la fin de la crue, le Rhône n’est pas très beau, l’eau est encore trouble et froide (~11.5°C).

Poste

 

Le poste est un paradis, la faune et la flore forment un endroit de repos, laissant mon âme se balader parmi les gazouillements des oiseaux.

 

Irwin passe me voir après son boulot, vers 19h30.

Il tombe littéralement amoureux du poste.

 

Je mange et m’allonge vers 22h30.

Je n’ai pas le temps de fermer les yeux, mon deuxième détecteur de gauche s’emballe. Je chausse mes bottes et cours vers les cannes.

 

 

 

Trop tard !

La touche s’arrête nette, l’écureuil ne bouge plus. Je prends quand même la canne pour ferrer, au cas où.

Avec déception, je ramène la ligne sans poisson.

Dans la foulée, je repose le montage sur la berge d’en face.

 

Je suis réveillé au lever du jour, par le chant des oiseaux. C’est plus agréable que le réveil de la semaine.

 

La nuit a été très calme. A part quelques bips intempestifs, rien d’autre.

 

Je sors une brème dans la matinée, mais rien d’extraordinaire.

 

Biwy

 

Je décide de faire une sieste après manger.

Soudain, vers 15h, j’attends du bruit dans les roseaux de droite. Une bête approche doucement en direction de l’entrée de ma tente. Il s’agit certainement d’un ragondin. Je ne crains pas ce genre de bestiole.

Mais quand la bête se présente devant la tente, ma réaction est plutôt violente.

Il s’agit d’une grosse couleuvre de plus d’un mètre. Elle dresse sa tête 10cm au-dessus de mon tapis de sol, en ma direction. On se fixe pendant quelques secondes, puis je lui fais peur en bougeant les mains.

Le reptile fait demi-tour, pour recommencer un mètre plus loin sur le côté droit de mon tapis de sol.

Je le fais fuir dans les roseaux, en tapant dans les mains. Même s’il s’agit d’un animal inoffensif, je n’aime pas trop ce genre de bête rampante. Enfin, voilà une sortie de sieste très palpitante.

 

Pour la deuxième nuit, Irwin me rejoint sur le poste d’à côté.

 

La nuit est une nouvelle fois très calme.

Au lever du jour, Irwin m’apprend la prise d’un petit silure. Pas de trace des carpes !

 

Vers 9h, je commence à plier, quand soudain mon détecteur de gauche s’emballe violemment.

Je ferre le poisson et comprends de suite qu’il s’agit d’un silure. Par précaution, je prends la barque pour finir le combat. Au bout d’une bonne demi-heure, je hisse le spécimen sur le bateau.

La bête fait 1.72m pour plus de 40 à 45kg. Il est énorme !

 

Je relâche le poisson et finis de ranger mon matériel.

 

Le bilan est plutôt maigre, mais le Rhône n’est pas encore à son meilleur niveau.

Les silures ont très certainement dérangés les carpes.

 

Je reviendrai un peu plus tard sur ce joli poste.

  

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Prospection et découverte

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Article de TomSuncarpe26 publié le 26 Mars 2010 à 11:12 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le samedi 20 mars 2010.

Ce weekend est dédié à la découverte et prospection de nouveaux postes de pêche.

 

Je n’avais pas prévu de pêcher ce weekend mais avec 24 heures de disponibles, pourquoi pas ?

Ma destination est une retenue de barrage, qui me turlupine le cerveau depuis quelques temps.

 

Je pars de chez moi le samedi matin, vers 10h. Le Kangoo et la barque sont chargés, pour une aventure à cinquante kilomètres, au sud de Valence.

J’arrive sur place, vers 10h45.

La première chose que je vois, m’horripile, je me mets à crier au ciel, en injuriant le monde. Le poste de pêche est recouvert de laine de verre et de placo. Encore un artisan qui n’a pas pris la peine d’emmener ses ordures à la déchetterie. C’est tellement plus simple de jeter sa merde, sur les bords du Rhône !

 

 

DechetDechets

 

 

Après avoir repris mes esprits, je décharge ma barque et installe le moteur avec l’écho-sondeur. Je ne connais absolument pas les lieux. Je sonde minutieusement le terrain de jeu, en détectant les variations de fonds et leurs textures. Je distingue très rapidement un plateau partant du bord, jusqu’à 25m, puis une descente régulière, allant à 8.5m de profondeur. Le haut fond est encombré par de grosses branches, sur un sol recouvert d’une petite couche de vase.

Le milieu reste banal, très plat, avec 8.5m de fond.

Arrivé sur la berge d’en face, je découvre une très belle digue en roche et un mur de béton, en pente douce. Ce mur descend jusqu’à 4m d’eau, puis il présente une chute vertigineuse jusqu’à 11m de profondeur.

La digue de droite présente de multiples avantages. La pente de roches est régulière sur 25m, se prolongeant dans 10m de fond.

 

 

Poste

 

Enfin, je passe plus de 2 heures sur la barque, pour découvrir ce nouveau milieu halieutique.

 

Une fois de retour sur la berge, mon estomac crie famine. Je dévore un plat de haricots avec pas moins de trois côtes de porc.

 

Le temps est magnifique, le printemps est peut-être arrivé. Il doit faire 20°c et le soleil brille de ses plus beaux rayons.

La température de l’eau est à 8°c, encore très froide.

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est 14h, je prends tout mon temps, pour préparer mes lignes avec les appâts.

Je bourre quatre chaussettes solubles de pellets en 7 et 15mm, puis je fais tremper quatre pellets de 25mm, dans du BHA.

 

Il est 15h30, je commence à tendre mes lignes.

 

Comme vous l’avez compris, je pêche exclusivement au pellet. Un appât très attractif pour les pêches rapides.

 

 

 

 

 Batterie

Je tends ma première ligne de droite, sur la digue d’en face. Je dépose le montage sur une belle roche plate, dans 7m de fond.

Pour la seconde canne, je présente le montage dans 4m, sur le mur en béton, de la berge d’en face.

En ce qui concerne les deux autres lignes, je vais exploiter la pente du haut fond, présente devant moi. La ligne de gauche, dans 5m et la deuxième, dans 8m d’eau. Je forme une sorte de barrage, pour stopper les poissons naviguant le long du plateau.

  

Il est 16h30, les cannes sont opérationnelles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Couchage 

Malheureusement, Météo-France annonce la pluie pour demain.

Pour passer une nuit, je ne me tracasse pas la tête, j’aménage mon kangoo en camping-car.

 

Vers 20h, Irwin me rend une petite visite de courtoisie.

Puis, je rejoins les bras de Morphée, à 23h.

 

Je suis réveillé par deux bips en touche retour, puis plus rien. Il s’agit de la deuxième ligne de droite, sur le mur. Le plomb a très certainement légèrement glissé dans la pente.

 

 

   

 

 

J’ouvre les yeux plusieurs fois dans la nuit, toujours rien !

Puis le jour se lève, sans une carpe sur le tapis de réception.

 

Cela ne sera pas pour cette fois, tant pis !

 

Je plie bagage vers 10h, pour partir plus au sud, sonder un autre secteur de pêche.

 

En 24 heures, sur un coin que je ne connaissais pas, je ne pouvais pas demander la lune.

Mais un poisson, aurait été le bienvenu !

 
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Retour sur le vieux Rhône

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Article de TomSuncarpe26 publié le 22 Mars 2010 à 11:14 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le vendredi 12 mars 2010.

Pour donner une suite à ma jolie pêche du 19 février avec mon club Suncarpe26, j’ai décidé de retourner sur les berges du Rhône, près de Cornas.

Je vais partir pour 48h de pêche non-stop, sur le même poste que la dernière fois.

 

Il est 17h, je quitte le boulot avec la barque attelée au Kangoo.

J’arrive sur place vers 17h15, les berges sont désertes. Il fait très beau, mais le vent du nord glacial est encore fortement présent.

Comme d’habitude, je décharge la barque et installe mon matériel.

 

PostePoste

 

 

Spot

   

 

 

Par manque de temps, avant la tombée de la nuit, j’utilise les piquets munis des détecteurs de touches, de la semaine dernière.

J’installe mon nouveau joujou sur la barque. Un petit moteur thermique de 2.5cv, qui me permettra de faire face au vent et gagner un temps précieux avant la nuit noire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

appât

 

 

 

 

 

 

Les cannes sont prêtes, avec quatre lignes eschées au pellet de 25mm et quatre chaussettes solubles de pellet en 7 et 15mm.

Je tends mes lignes de la même manière que la dernière fois. Toutes sur la berge d’en face, dans les descentes de roches.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par précaution, j’utilise le moteur jusqu’à 30m de la zone de pêche et finis à la rame, pour ne pas effrayer les carpes qui peuvent être déjà présentes sur le coup.

 

Les lignes sont opérationnelles vers 18h30, juste avant la nuit.

Il fait déjà très froid et le vent glacial amplifie le phénomène.

 

Je m’abrite dans le biwy avec le chauffage et mange un morceau vers 20h. Il est dur de faire une pêche en solitaire dans cette période hivernale. J’écoute de la musique et me couche à 22h30.

 

Je suis réveillé par quelques bips intempestifs, dus au vent qui souffle dans mes bannières.

Puis à 5h, l’écureuil de ma canne de gauche descend. Pendant que je sors de ma tente, le détecteur s’emballe, le départ devient violent.

Je prends la canne et ramène doucement un petit poisson naviguant de gauche à droite. Je pose sur le tapis de réception, une petite carpe commune de 6kg.

Je la relâche aussitôt, sans prendre de photo.

 

Je replace la ligne à la rame, sans utiliser le moteur, pour me faire le plus discret possible.

 

Je me lève à 9h, avec un bon petit déjeuner.

La matinée est plutôt calme, j’en attendais beaucoup mieux.

 

Je passe le début d’après midi sur ma barque, avec mon écho-sondeur. Je repère quelques zones intéressantes, avec plusieurs digues de roches immergées.

 

Pour la deuxième nuit, Seb me rejoint vers 15h.

Il s’installe cinquante mètres plus bas, pour que l’on puisse passer la soirée en commun.

 

Je retends mes lignes vers 16h, avec l’aide de mon moteur, pour affronter ce vent de mer...!

 

Je mange avec Seb sur les coups de 20h, puis il regagne son couchage vers 22h.

 

Le vent souffle en rafale toute la nuit, sans relâche.

 

 

 

8kg

 

 

Je suis réveillé vers 3h, une nouvelle fois par ma canne de gauche.

Je saisis la canne et prends contact avec le poisson. Cela n’est pas très violent. C’est en arrivant au bord, que je commence à ressentir quelques rushs dans le scion de ma canne. Mais sans difficulté, je glisse à l’épuisette une carpe commune de 8kg. Je fais simplement quelques photos sur le tapis.

Je profite d’une petite accalmie de vent, pour retendre la ligne à la rame.

 

 

 

 

 

 

J’ai à peine le temps de me rendormir, que ma deuxième ligne de droite déroule à son tour. Après un petit combat sympathique, je sors une nouvelle commune de 9kg.

Je retends la ligne aussitôt.

 

 

 

 9kg9kg

 

 

Au lever du jour, c’est l’écureuil de la deuxième canne de gauche qui fait une chute vertigineuse. Je prends le canne et mouline pour tendre la ligne jusqu’au contact. J’ai beau tirer, rien ne vient !

La ligne est bloquée dans les roches. Je saute dans la barque pour décoincer le montage. Malheureusement, le poisson s’est libéré de l’hameçon.

 

Pendant la nuit, Seb fait une décroche, sur un petit poisson.

 

Nous plions vers 10h, pour laisser la nature reprendre le cours de sa vie.

 

Je devrais être satisfait de cette pêche pour un mois de mars encore très froid. Mais je suis un peu déçu de ne pas avoir dépassé les 10kg. Enfin, 4 départs sur le Rhône, dans une eau à 7°C, je ne vais pas m’acharner sur mon sort.

   
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