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Articles de pêche de la carpe associés au tag carpe

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Sortie club sur le Rhône

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Article de TomSuncarpe26 publié le 25 Octobre 2013 à 14:55 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le 20 septembre 2013.

Sur mon agenda, cette date correspond avec une pêche en commun avec mon club Suncarpe26.
Dans la semaine avant le jour “J”, nous nous décidons sur le point de chute.
La destination désignée est le vieux Rhône, près de Saint Vallier.

Il s’agit de mon dernier weekend de vacances, avant la reprise du boulot. J’espère prendre un bon bol d’air avant l’assaut.

Je démarre la voiture vers 16h, pour rejoindre le lieu de pêche défini préalablement.
Une fois arrivé sur place après 20 minutes de route, une surprise m’attend de pied ferme.
Nous n’en avons pas encore fini avec les caprices du fleuve cette année. La zone est totalement impêchable, car le barrage hydroélectrique a quatre vannes d’ouvertes.

Il faut rapidement trouver un plan “B”.
J’appelle Olivier dans la foulée pour exprimer les différentes idées de replies.
Nous pensons tous les deux à la retenue de barrage de la Roche de Glun.

Je grimpe dans le Kangoo et refais les kilomètres dans l’autre sens.
Une fois sur place, je découvre que toutes les vannes sont fermées.
Il me vient une autre idée de destination. Nous connaissons déjà très bien la retenue, mais beaucoup moins la zone en dessous du barrage.

Je rappelle Olivier pour soumettre mon hypothèse.
Avec son accord, je pars à la recherche d’un poste pouvant accueillir au moins trois équipes de pêcheurs.
Je stoppe la voiture près d’une grande plage de galet, offrant plusieurs possibilités d’axe de pêche.

C’est décidé, je plante mon campement ici.
Je descends mon matériel sur le côté sud de la plage.
Une fois le camp de base dressé, j’équipe ma barque avec mon nouvel échosondeur couleur, pour les premiers essais.

 

Après quelques réglages, je sonde méticuleusement ma zone de pêche.
Je vais exploiter la bordure de gauche, perpendiculairement à une digue de roche.
Je laisse à mon coéquipier “David”, la berge opposée.
La pente est constituée de galet et de sable, rejoignant les 7m de fond.

Une fois revenue sur la terre ferme, je prépare les lignes avant la nuit.
Pendant ce temps-là, David et Olivier arrivent sur le poste.

David s’installe à côté de moi et Olivier sur le nord de la plage.

En sachant que la moyenne des poissons sur cette zone n’est pas très élevée, j’oriente ma pêche sur du rendement.
Je vais faire un barrage sur le côté dans le prolongement de la pente.
J’esche mes deux premières lignes aux maïs allégés de liège. J’en dépose une dans moins d’un mètre à ras la bordure sous un arbre et la seconde dans 3m.
Le troisième montage est muni d’un pellet de 25mm disposé dans 5m de fond, puis la dernière à la bouillette sur le bas de pente dans 7m.

David procède de la même manière sur la berge d’en face.

Il est déjà 20h, les faisceaux de nos frontales nous indiquent le chemin de l’apéro.
Denis et Xavier arrivent trop tardivement pour monter le matériel ce soir. Ils préfèrent s’installer à la table pour papoter un verre à la main et prendre le repas tranquillement.
Vers 22h, le jeune Yoann nous rejoint accompagné de son père.
Remonté comme une horloge, il veut pêcher cette première nuit.
Il s’installe dans le noir, dans le milieu de la plage.

Une fois son camp de base opérationnel, il vient avec nous, déguster la viande grillée sur le barbecue.

En fin de repas, je suis interpelé par le son de l’un de mes détecteurs de touche. J’engage un sprint de 100m jusqu’au rod-pod.
Tout en reprenant mon souffle, je démarre le combat avec mon collègue de jeu.
Sans trop de difficulté, je dépose une petite commune d’environ 7kg sur le tapis de réception.
Je la relâche et retends la ligne au même endroit, sur la bordure de gauche.

 

Je remonte sur la digue pour finir la soirée avec mes potes.

Des détecteurs de touche commencent à sonner de part et d’autres sur les batteries. Le niveau du Rhône monte petit à petit, en traînant des morceaux d’herbiers se coinçant dans les lignes tendues trop loin du bord.
Fort heureusement, cela ne dur pas très longtemps.
Le niveau reprend son cours deux heures après. Juste de quoi embêter le monde.

Nous regagnons tous nos duvets aux alentours de minuit.

La nuit est assez agitée, je suis réveillé à plusieurs reprises par les départs.
J’enchaîne cinq touches de 1 à 7h du matin. Je parviens à sortir trois petites communes avoisinantes les 7 kg. Je décroche les deux autres devant l’épuisette.

Malheureusement, c’est le capot général pour les autres.

La journée est digne d’un jour d’été. Nous nous tenons à l’ombre des rayons du soleil.

Pendant l’apéro de midi, l’un de mes détecteurs s’emballe à nouveau.

Je cours jusqu’au rod-pod et saisis la canne.
Le poisson est bloqué dans un obstacle. Je saute dans la barque pour essayer de libérer la ligne. Je reprends contact, mais au bout de quelques minutes, une petite commune se décroche au-dessus de l’épuisette.

J’en profite pour replacer aussitôt le montage.

Le reste de la journée est calme, nous profitons de ce magnifique ciel bleu.

J’enregistre une autre touche avant la tombée de la nuit.
Je sors la première carpe miroir.

Pour cette deuxième nuit, je n’ai pas le temps de trouver le sommeil.
Les carpes ne me lâchent pas une minute.

Je fais même un doublé avec l’aide de David.

Au petit matin, j’enregistre mon septième départ de la nuit.

David et Olivier sortent chacun une petite commune et Denis attrape une belle 13kg.

Nous terminons cette session en pliant bagage vers midi.

Je suis enfin arrivé à faire une belle quantité de poissons sur le Rhône cette année. Je finis avec 14 départs pour 10 poissons sur le tapis.
Je suis plus que satisfait de cette sortie avec mes potes du club.

Thème: Sessions de pêche | Département: Drôme (26) Lien permanent | Voir le commentaire
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Année 2011

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Article de nico59153 publié le 12 Octobre 2013 à 07:36 dans le blog Nico et la carpe
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En 2009, j'ai du arrêter la pêche de la carpe pour raison professionnel, mais mon seul souhait c'était de reprendre cette passion, en 2011 j'ai pus reprendre cette activité.

 La reprise est dure, de se remettre dans le bain ce n'est pas évident, mais après quelques sessions la magie est revenu, le plaisir de reprendre de jolie carpes au bout de sa ligne. Que demander plus.....

Carpe miroir de 5.6 kg

Commune de 4kg

Pas beaucoup de photo, mais pour ma reprise j'ai pu réaliser beaucoup de carpe entre 3.5kg à 6kg.... Cette année je n'est pas fait de pêche de nuit, que des coup rapide matinale ou des journée.

Mais cela restera une très bonne année car j'ai pu réaliser mon propre reccord avec une belle commune de 19kg, auparavant mon record était de 11kg.

Commune de 19kg

Très belle commune, mon beau-père qui lui pêché au coup, c'est la première qui voyait une grosse carpe de cette taille tout comme moi a part en photo sur internet ou en magazine. Il n'est pas adepte des photos, donc j'ai mis la plus belle photo que j'avais.

Thème: Passion de la carpe | Département: Nord (59) Lien permanent | Voir le commentaire
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Pêche difficile sur le Rhône

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Article de TomSuncarpe26 publié le 24 Août 2013 à 16:29 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le mercredi 14 août 2013, une bonne partie de l’été est déjà derrière nous.
En ce grand weekend de quatre jours, je pars en binôme avec mon pote “Hugues”, sur les berges du Rhône pour tenter de piéger un maximum de nos amis cyprinidés.

Nous nous retrouvons pratiquement à la même heure, aux alentours de 18h, sur le poste prédéfini lors de mon dernier repérage.
Cela fait déjà un bon moment que nous voulions pêcher cette zone de calme, en intérieur de virage, en dessous d’un grand haut fond recouvert d’herbiers.

Le beau temps est annoncé pour toute la fin de semaine, avec un vent très modéré et des températures en hausses constantes.
Cela va changer du magnifique printemps ! “Ironie, bien-sûr !”

En ce qui concerne le choix du poste, je ne sors pas une pièce de monnaie ou la courte-paille pour conjurer le sort de chacun. Je laisse le plaisir à Hugues de choisir son côté préféré : aval ou amont ?
Sans trop réfléchir, il opte pour la droite en direction de l’aval.

Je m’installe donc sur sa gauche en amont, avec un léger courant de face.

 PosteInstallation

 

Une fois la barque équipée de l’échosondeur, je pars découvrir ce que nous réserve notre terrain de jeu.

En extrapolant toutes ses données, voici un petit descriptif du poste de pêche :
Après une bande d’herbier de 10m, le fond descend régulièrement de 1 à 6m sur 30m de large. Puis subitement, une grosse marche d’escalier apparaît à l’écran. Nous passons de 6 à 8m d’un coup, pour regagner le chenal du fleuve.
Les fonds semblent très propres, je n’ai pas détecté d’obstacle proéminent.
La température de l’eau est de 21°C, assez fraîche pour la saison.

Je dispose trois repères lumineux sur l’eau, pour délimiter ma zone de pêche.
Un premier au ras des herbiers, un second en fin de pente dans 5m de fond et un dernier sur le haut de la cassure.

Je pars ensuite avec Hugues pour faire la même chose de son côté. La digue se rapproche très nettement du bord sur sa droite, en formant un entonnoir très intéressant sur la bordure.

Je monte tout le reste de mon matériel et prépare les quatre lignes.

Afin de faire une première analyse du passage des poissons, je vais disposer mes quatre montages en formant un barrage, en partant du bord jusqu’au pied de la digue.

Je dépose le premier montage esché avec un pellet de 25mm, juste derrière les herbiers dans 1m d’eau. J’utilise le même appât pour la seconde ligne, présentée près de mon repère dans 4.5m de fond.
Les deux dernières cannes sont placées en haut (6m) et en bas (8m) de la digue. Les hameçons sont garnis de bouillettes carnées en bonhomme de neige.

 batterie HuguesMa batterie

 

Par manque de temps avant la nuit, Hugues opte pour lancer ses quatre lignes du bord, avec des filets solubles.

Nous mangeons tranquillement et la fatigue de la semaine se ressent très vite.
Nous regagnons nos bedchairs vers 23h.

Vers 1h du matin, je suis réveillé par une multitude de bips émit par mon détecteur de droite. Je ferre et prends contact avec le poisson.
Je reconnais rapidement ce genre de coup de tête dans la ligne. Il s’agit certainement d’un silure.
Pas d’erreur quand j’aperçois la petite bête de moins d’un mètre dans la lueur de ma frontale.

J’ai tout juste le temps de décrocher ce petit moustachu, que ma ligne de gauche joue au yoyo avec mon swinger rouge.
Je me saisis de la canne et reconnais une nouvelle fois le combat caractéristique d’un petit silure. Je le ramène et relâche aussitôt.

Je ne suis pas très rassuré de voir mes coups d’amorçages envahis par les gros chats. J’espère qu’ils ne resteront pas trop longtemps sur le poste.

Je retends les deux lignes sur les mêmes spots.

Je n’ai pas le temps de me recoucher, quand la deuxième ligne de droite enregistre une petite touche. Une fois ferré, c’est encore un silure de taille plus conséquente, qui arrive à me casser la ligne dans les herbiers.

Décidément, il y a un banc de silure dans le coin !

Je remonte ma ligne dans la foulée, pour la reposer près du repère central.

Je sors une brème sur ma gauche avant le lever du jour, puis toujours pas une trace des carpes par la suite.
De son côté, Hugues n’enregistre aucune touche de la nuit.

Nous retendons les montages après le petit déjeuner.

Je fais un nouveau petit silure vers 13h, puis rien d’autre de la journée.

A la suite d’une petite ballade 500m plus haut sur le grand plateau d’herbe, nous apercevons plusieurs carpes en train de fouiller les bordures.
Nous espérons vraiment qu’elles descendront pour trouver nos amorçages.

La deuxième nuit ressemble étrangement à la première.
J’enchaîne quelques silures et différents blancs.
Mais que font les carpes ?

La journée est très calme.
Le vent tourne légèrement au sud, nous apportant un peu plus d’activité à la surface de l’eau. Nous apercevons plusieurs sauts au niveau de la digue.

Nous recevons la visite sympathique de Séverine et du bébé Lilyan, petite famille d’Hugues.

La soirée approche rapidement, nous observons le Rhône pour détecter le moindre déplacement des carpes.
Quand soudainement, j’aperçois une ombre de carpe passer sous nos bateaux.

Si ça, cela n’est pas de la provocation !

Après une touche de brème sur l’une de mes lignes, en retendant le montage, je vois une dizaine de carpes dans les herbiers, passant à côté du bateau.
Elles ne sont même pas effrayées par ma navigation.

Ce comportement ne m’est pas inconnu, je crains la fraie des carpes. Ce qui expliquerait le manque de touche.

Quelques heures plus tard, nous entendons les carpes se frotter les unes contre les autres sur les bordures.
C’est incroyable, avec les intempéries du Rhône en début de saison, la fraie a près de deux mois de retard. Je n’avais encore jamais vu une fraie aussi tardive en vingt ans de pêche à la carpe.

Cela va compliquer terriblement notre pêche.

Je sais très bien qu’elles ne fraient pas toutes en même temps, mais un grand nombre d’entre elles seront bien occupées à d’autres folies que penser à manger.

Le jour se lève et le bilan est toujours à zéro. Pas moyen d’enregistrer une touche de carpe, au milieu d’un grand nombre de blancs.

Vers 9h, nous déjeunons et décidons de porter nos dévolues sur une autre destination pour la dernière nuit.

Quand brutalement, le détecteur de droite à Hugues s’emballe !

Il ferre et part à l’abordage avec son bateau.
Il ramène enfin une première carpe d’environ 7kg.

7kg7kg

La motivation revient avec les sourires.
Et si les carpes commençaient à se nourrir sur nos amorçages ?

Je redéploye mon duvet et quelques affaires déjà repliés pour rester finalement cette dernière nuit.

Malheureusement la journée reste calme, mais nous observons plusieurs sauts aux abords de nos repères.

Vers 18h, nous refaisons une campagne d’amorçage avant la nuit.

A peine quelques minutes plus tard, le détecteur de droite s’emballe à nouveau.
Hugues empoigne la canne et nous sautons tous les deux dans le bateau à la rencontre du spécimen.

Le combat est de toute beauté. Le poisson donne toutes ses forces pour ne pas finir à l’épuisette. Mais après plusieurs slalomes dans les herbiers, le poisson fini dans les filets.

C’est une très belle commune de 14kg qui regagne le tapis de réception.
Nous l’avons bien mérité !

14kg14kg*

14kg 14kg

 

Après un bon repas, nous entamons notre dernière nuit.

J’enchaîne les brèmes et les carassins, mais toujours pas de carpes.
Cela commence à me faire rager.

Puis soudainement vient la délivrance !

Un départ violent sur ma deuxième ligne de droite.
J’engage le combat en restant sur la berge. Le poisson ne se laisse pas faire et cette fois cela n’est pas un silure.
Je parviens à faire passer la carpe au-dessus des herbiers pour l’emprisonner dans l’épuisette.
Le capot est sauvé !

C’est une jolie commune qui fait grimper les digits de mon peson à 13.5kg.

 13.5kg13.5kg

 

Je replace aussitôt la ligne sur le repère.

Quelques instants plus tard, Hugues enregistre deux départs.
Malheureusement, se soldant par une décroche et une casse.

Puis un troisième départ, avec un silure pendu à l’hameçon.

Encore une quatrième touche finissant par une nouvelle casse.
Hugues est en colère, grognant toutes les injures du monde !

De mon côté, les blancs ne m’ont pas lâché de la nuit.
Je n’ai presque pas fermé l’œil de la nuit.

Nous déjeunons vers 9h et démarrons le rangement du campement.
Nous quittons les lieux à 11h30.


Le bilan de cette session de pêche est plus que catastrophique. J’attendais vraiment une très belle pêche de quatre jours sur le Rhône.
Je n’avais pas prévu que nos chères camarades de jeux entrent dans leurs ébats amoureux à une date aussi tardive.
La seule satisfaction est d’avoir tenu moralement, pour finir par sauver le capot avec trois beaux poissons.

Je pense que nous reviendrons sur ce poste à une autre période.
Nous prendrons notre revanche !

Thème: Sessions de pêche | Département: Ardèche (07) Lien permanent | Voir le commentaire
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Une journée enrichissante !

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Article de Dadou publié le 7 Août 2013 à 06:23 dans le blog évolution-carpe Mag
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Cela fait déjà quelques temps que mon ami Seb et moi avions envisagé de partager une journée pêche ensemble. Etant donné que Seb habite un peu plus de 100 bornes de chez moi il était difficile de pouvoir ce caler une sortie correcte ! Ce fut après quelques semaines, enfin, nous arrivons a nous mettre d'accord sur une date en fin de semaine !


Reste à trouver un endroit ou pouvoir faire pêcher mon collègue de pêche du moment qui lui est un pro à mes yeux en ce qui concerne la pêche à l'anglaise ! Ce sera comme d'habitude sur un de nos petits étangs que je décide d'inviter mon ami, pour une pêche à la carpe ainsi qu' une pêche à l'anglaise , et cela me permettra d'approfondir mes connaissances à cette pratique, que j'ai essayé, il y a bien longtemps, mais que je n'ai pas suivi en raison de mon manque d’expérience !


Le rendez-vous était donc donné au petit matin avant l'aurore devant mon domicile! Pour moi qui attendait avec une certaine impatience ce jour de pêche, j'avais pris soin de me lever très tôt et de charger ma voiture avant son arrivée. Seb que je rencontre pour la première fois et salutation d'usage, nous nous dirigeons en direction des étangs Sainte-Anne, ou nous jetterons nos lignes sur l'un des trois étangs le plus approprié en ce qui concerne l'anglaise et la pêche de la carpe en action rapide !


Le choix du poste ce fera sur mes connaissances du secteur, d'une pour moi en ce qui concerne la carpe, secteur ou ce situe une rive bordée de petits arbustes ou ce trouve régulièrement quelques carpes de passage à certaines heures de la journée. Pour l'ami Seb le faite d'avoir un arbre mort couché au fond de l'eau laissant apparaître quelques branches est un très bon spot qui peu abriter carpes mais également de très belles tanches.

 

                         

 

 


Un petit tour d'horizon sur la surface du plan d'eau ou très peu d'activité ce manifeste, ce qui est pour moi bon signe ! Quelques que minutes passent, et nous décidons d'installer nôtres matériels. Le choix de Seb est de s'installer sur le poste à ma gauche pour pouvoir pratiquer proche de l'arbre mort la pêche à l'anglaise et  en même temps que celle de la carpe sur la bordure boisée . Quand à moi j'installe deux cannes , dont une en pleine eau et m'autre au bout d'étang toujours sur la même rive boisée. Pour cette occasion j'avais pris soin de prendre une troisième cannes, histoire de prospecter l'étang qui ce trouve juste derrière nous, pour une pêche de bordure !

 

En ce qui concerne mes appâts je ne change pas ce qui m'a valu depuis mes premières sorties de l'année de belle surprise , la fameuse hot demon , ce malgré le doute de me faire défoncer mes billes par les poissons-chats qui sont en nombres important dans ces plans d'eau ! Une fois toutes mes lignes en place, j'observe Seb qui lui installe sa station, et son rod-pod ! Je reste admiratif sur ce genre de matériel : une station de pêcheur au coup qui reste aussi technique et ce repose sur le confort du pêcheur !


Seb en bon professeur m'explique le montage qu'il compte utiliser aujourd'hui ainsi que sa façon d’aborder son secteur de pêche ! Une fois installé celui-ci prépare son amorçage qui est composé de différentes farines. Les proportions de son mélange est de sa propre composition il y rajoute asticost ainsi que quelques poignées de maïs doux sucrés en boîte ! Pour ce qui concerne son esche , l'évidant maïs doux bien sûr !  

 

    

 

 Un lancé teste pour évaluer la distance exacte , puis une fois l'esche en place ainsi que sa ligne , un amorçage de départ et l'attente peu commencé ! quelques minutes plus tard un saut ce produit derrière nous en bordure du grand étang qui lui est déjà bien herbeux , je lui raconte ce fameux jour ou dans la même situation j'ai posé sur mon tapis de réception avec mon collègue du moment lors d'une pêche, une jolie commune d'un poids plus que jolie et ce en moins de 30 minutes ! pendant mon anecdote , Seb enregistre ces premières touches, ce sera donc entre poissons-chats et tanches. Seb me montre une superbe démonstration de pêche à l'anglaise le tout dans la maîtrise de l'art.

 

                            

 

 

 La matinée touche à sa fin , et en ce qui concerne nos montages à carpe cela reste muet , je relève mes lignes pour vérifier si celle-ci sont toujours opérationnelles. Lorsque je m’aperçois que seulement deux cannes sur trois sont péchantes. Je replace donc mes montages à plus ou moins au même endroit. Après une bonne heure plus tard, j'enregistre une touche assez timide, comme celle d'une brème, sans me précipiter,  je me dirige en direction de ma canne, et observe attentivement l'écureuil qui ce met à trembler doucement , le poisson est encore dessus, l'écureuil se met totalement à la verticale pour ne plus bouger , ce qui m'oblige à observer du coup le nylon qui tremble lui aussi pour finir par ce tendre lentement.  Je prend donc la décision de ferrer et prend de suite "contact avec un poisson" qui ne semble pas vouloir se battre il se dirige en direction, le centre de l'étang pour revenir à vive allure vers nous. Je règle la tension du fil pour ne pas décrocher ce poisson, dont je ne connais pas sa catégorie, je regarde Seb qui lui au même moment décroche une tanche qu'il a ferré au moment du départ de mon poisson mystérieux. Pour lui faire plaisir je lui donne ma canne pour qu'il puisse terminer royalement ce combat entre poisson et l'être humain.


Quelques interminables minutes de combat, nous pouvons apercevoir dans un remous de surface un soupçons d'une queue qui ressemble à celle d'un amour blanc ! Le poisson tente un combat uniquement en bordure ce qui nous enlèvent le doute et ce n'est qu'une fois la tête du poisson hors de l'eau que nous pouvons apprécier la vue d'un superbe amour blanc qui finit en douceur au fond de mon épuisette . Quelques photos vites faites  pour ne pas le stresser et toute en douceur la remise à l'eau.  

 

    

 

 Le reste de la journée restera calme en ce qui concerne la pêche de la carpe ! nous aurons la visite de Thierry secrétaire de notre association ainsi  qu'un ami de longue date Stef qui lui est devenu adhérant à notre association carpiste et restera jusqu’à notre fin de partie de pêche en milieu d'après-midi ou Seb nous a fait un joli carton de superbes tanches qui après photos souvenirs repartiront dans leurs milieux !

 

                                

 

     

 

 Après cette superbe journée enrichissante, je décide de faire découvrir à mes amis, un autres étang ou la population en poissons-chats y est quasiment inexistantes , mais abrite de jolies belles tanches, gardons, carpes, ainsi que carnassiers ! Plans d'eau qui sera je pense la prochaines destination de l'ami Seb !

 

                                                                          Affaire à suivre !                                   Dadou

 

 

Thème: Passion de la carpe | Département: Meurthe et Moselle (54) Lien permanent | Voir le commentaire
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