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Articles sur la pêche de la carpe par département - Nièvre (58)

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Une dernière à Pannecière

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Article de TomSuncarpe26 publié le 18 Octobre 2011 à 13:03 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le dimanche 11 septembre 2011.
Comme chaque année, j’ai pour habitude de prendre mes vacances au mois de septembre. Les lieux touristiques sont moins fréquentés et le temps reste encore clément.
Pour cette première semaine de congé, je profite des stages réalisés par ma conjointe sur Marseille, pour partir à la pêche.

PannecièreDepuis plusieurs années, je pars à l’abordage des berges du lac de Pannecière. Il s’agit du plus grand plan d’eau du Morvan, représentant une superficie de 520ha à son plus haut niveau.

Cette fois, cela sera la dernière avant un bon moment car la vidange décennale est amorcée depuis le mois de juillet. La pêche de nuit est interdite depuis le 5 juillet et la pêche en tous genres sera fermée au 30 septembre.
Je connais très bien la population de carpes navigants tranquillement dans ces eaux. Même si je ne peux pas pratiquer la pêche nocturne, la journée devrait me suffire à réaliser une belle session.

Mon réveil sonne à 5h30, je me lève, saute dans mes habits, puis finis de préparer la glacière avec les aliments encore au frigo.
J’embrasse tendrement ma chérie et fais route vers le nord en direction de ma destination de pêche.
A cette heure-là, il n’y a pas encore beaucoup de circulation, le trajet se déroule très bien. Je m’arrête dans la ville d’Autun pour m’acheter un petit déjeuner à la boulangerie. J’engloutis un pain aux raisins et un pain chocolat et refais route à bord de mon Kangoo.

Après 3h30 de voiture et 320km, j’aperçois enfin le début du plan d’eau. Je remarque très vite que le niveau est déjà bien bas.

Dans un premier temps, je stoppe mon véhicule sur le secteur de Huard pour me rendre compte du niveau. Le début du parcours est à sec, mais il reste encore de l’eau sur le milieu du lac. J’en profite pour prendre quelques photos, cela peut servir pour le futur.


HuardHuard

HuardHuard

Je reprends la voiture pour continuer le tour du plan d’eau. Le secteur de Blaisy est occupé par deux carpistes sur la berge encore en pente douce. J’avais pêché ce secteur l’année dernière avec 22m de fond. Il y a actuellement environ 10m de moins, donc encore 12m d’eau.

BlaisyBlaisy

La pêche de nuit étant interdite, je décide de m’installer à un endroit hors secteur habituellement pour surprendre les carpes et changer la routine.
Après quelques heures de prospection, je défais mes bagages en dessous du village de Bonin, à quelques centaines de mètres du barrage. La berge est en pente douce pour monter convenablement le bivouac.
Je commence par la barque avec l’échosondeur pour être sûr de ne pas faire une bêtise.
Je ne voudrais pas m’installer n’importe où !
Ma petite télé m’indique une température de l’eau à 23°C et un fond très à brute, pour finir sur une grande plateforme, formant un chenal de plus de 80m avant de rejoindre la berge d’en face. Le lac est loin d’être vide, il reste encore 20m de fond sur ce poste.

BoninBonin

Pour ma plus grande satisfaction, je détecte le lit de la rivière Yonne, 70m devant moi. C’était l’un de mes objectifs, la pêche ne sera pas à très grande distance.
Je positionne trois repères dans 20m de fond, sur le long de la rivière pour délimiter ma zone de pêche.
Je dépose les deux montages du milieu aux pellets de 25mm, puis les deux autres à chaque extrémité à la bouillette pêche et scopex.

Il est déjà 13h30, le matériel est opérationnel.
J’en profite pour déguster mon repas.

PostePoste

Le poisson semble en activité, j’aperçois plusieurs sauts de carpes dans le début d’après-midi.
Cela n’est jamais évident de s’installer sur un plan d’eau d’une telle superficie, sans avoir le doute d’avoir fait une erreur sur le poste de pêche.
Il ne me faut pas attendre bien longtemps pour être rassuré. J’enregistre mon premier départ vers 16h, sur une ligne échée aux pellets. J’ouvre le bal avec une petite carpe miroir de 6kg.
Je relâche ma première prise et replace ma ligne.

Vers 17h, le scion de ma deuxième canne de gauche se courbe violement et mon détecteur de touche siffle en continuité. Je prends le moulinet en main pour stopper le tournoiement de la bobine. Le combat donne de toute son ampleur sur la bordure. Le poisson me reprend plusieurs fois du fil lors de gros rushs. Je parviens à glisser ce petit bolide à l’épuisette. Cette carpe miroir est de taille plus respectable que la précédente. Le peson m’affiche le poids de 9.5kg.
Soudain, le deuxième détecteur de droite se met à retentir. Je relâche en quatrième vitesse le poisson confortablement installé dans le tapis de réception et saute sur la ligne en train de partir à tout va.
Je sors sans trop de difficulté une nouvelle carpe miroir de 8kg.
Je replace aussitôt les deux lignes avec un amorçage de rappel.

8kg

Et bien !
Quel début de session !

J’enregistre un dernier départ avant la nuit, en sortant un poisson de 8kg, aux alentours de 20h.

La pêche de nuit étant interdite, je relève les lignes au coucher du soleil.
J’en profite pour cuisiner et manger tranquillement.
Avec le trajet et l’installation, mes paupières deviennent lourdes. Je ne mets pas longtemps à m’emmitoufler dans mon duvet pour basculer du côté obscur pour que la force soit avec moi demain.

Je me retourne plusieurs fois dans mon lit pendant la nuit, puis je suis réveillé par une voiture très tôt dans le matin. Il fait encore nuit, j’entends un pêcheur en train de s’installer sur ma gauche. Je n’en fais pas de cas et mes yeux retrouvent la lumière du jour plus tardivement dans la matinée.
C’est les vacances, je me permets une grasse matinée le premier jour.
Il est déjà 9h30, il est grand temps de remettre les lignes à l’eau, avec un bon amorçage.
J’èche les deux lignes avec deux pellets de 15mm au lieu d’un de 25mm comme la veille. Cela a parfois plus de succès.

Je ne m’étais pas trompé, c’est bien un carpiste qui s’est posté à ma gauche. Je vais à sa rencontre pour papoter un peu. Il n’est présent que pour la demi-journée.

Le poisson est très actif depuis le lever du jour, les sauts de carpes sont dignes d’une danse synchronisée.

Vers 10h, le pêcheur d’à côté enregistre une décroche.

C’est à mon tour, vers 11h30, de manquer un poisson bloqué dans un arbre immergé.
Une heure plus tard, pendant le départ de mon voisin, ma deuxième ligne de droite déroule. Cette fois, je sors le poisson de l’eau sans contrainte.
A partir de ce moment-là, tout va s’enchaîner jusqu’à la nuit.
Je n’ai pas une minute à moi, même pour manger, j’ai dû grignoter petit à petit.
Les touches se cumulent telle une course de relais interminable. Les deux lignes échées aux pellets déroulent chacune leur tour, pour ne pas dire en même temps à plusieurs reprises.

En moyenne, un détecteur de touche retentit toutes les demi-heures.

Pour obtenir se rendement de touche, je m’aperçois vite qu’il faut amorcer tous les 2 ou 3 départs. Sinon, le poisson quitte très vite le poste. Quelques poignées de pellets en 7, 15 et 25mm, suffisent à stimuler l’appétit des carpes.

9kgPoste

Il est 20h30, c’est presque avec plaisir que je ne repositionne pas les cannes pour la nuit.
L’après-midi n’a pas été de tout repos. J’ai enregistré 21 touches pour 17 carpes sorties, avec des poids s’échelonnant de 6 à 11kg.
Je profite de la soirée pour appeler ma chérie et déguster un bon repas pour reprendre des forces.

Barrage nuitAvant de gagner les bras de Morphée, je fais un petit bilan de la situation.
Seules les deux lignes du milieu échées aux pellets sont actives. Demain matin, je vais décaler ma canne de droite à côté de celle de gauche, pour faire un seul amorçage à la bouillette et à la graine.
Je verrai bien le résultat.

Avant de m’allonger pour rejoindre le pays des rêves merveilleux, je règle le réveil de mon portable à 6h15.

Je dors comme un bébé jusqu’à la sonnerie de mon téléphone.
Je positionne les lignes une à une avec la barque et me recouche quelque instant.

Il est 8h30, je me lève pour de bon, avec un copieux déjeuner.

A 10h, toujours pas la moindre touche. Je replace mes deux lignes aux pellets pour remettre un peu d’action et changer les appâts.

C’est à ce moment-là que je reçois la visite d’un garde d’APPMA. Il m’informe que l’utilisation de la barque pour tendre les lignes est interdite. Pour être franc, je connaissais cette partie du règlement que je ne lui cache pas. En pêchant à moins de 70m du bord, je ne voyais pas le mal. Cela n’est pas comme si je tendais les lignes à 300m sur la berge d’en face.
Il me comprend très bien et lui aussi constate que je respecte bien les distances de pêche. Mais pour l’étique de la pêche et le respect des autres, je n’utilise plus la barque pour déposer les montages.
Je marque aussitôt les fils avec un coup de marqueur noir, afin de fixer les distances de pêche.

Je procéderai aux lancers des lignes du bord, près des repères avec un amorçage plus large effectué de la barque.

Nous papotons encore un quart d’heure sur la réalisation de la vidange et la réparation du barrage.
Il m’explique qu’une digue de 15m de haut va être fabriquée une centaine de mètres devant le barrage, afin de ne plus avoir recours à une vidange complète pour les années futures. Je trouve cela très bien car le poisson ne sera plus détruit ou déplacé, mais préservé dans de meilleurs conditions.

C’est une heure plus tard que les hostilités commencent.
Je sors un premier poisson de 7kg, puis les départs s’enchaînent une nouvelle fois sur les deux lignes aux pellets.

12kg Le temps n’est pas formidable, par alternance de pluie fine et d’éclaircie, mais je n’ai pas le temps de penser à la météo.

Dans la matinée, un carpiste installé plus loin vient discuter un peu avec moi.

Dans la série de touches de l’après-midi, vers 17h, un combat m’interpelle par sa puissance.
Le poisson est bien venu jusqu’à la bordure, mais maintenant il m’est très difficile de lui reprendre du fil. Les rushs se multiplient, un coup à gauche, un coup à droite avec un déplacement très lourd. Je pense avoir affaire avec une carpe de belle taille.

Pendant ce temps-là, je suis admiré par une personne âgée qui me tient compagnie depuis quelques heures.

C’est au bout d’un bon quart d’heure que le poisson se fatigue et gagne doucement l’épuisette tenue par mon visiteur.
A première vue, j’estime le poisson à 12 ou 13kg, je suis même déçu en le voyant.
Mais une fois les filets de l’épuisette levés, je comprends très vite que je me trompe. Ce poisson est vraiment lourd.
En effet, la carpe est de petite longueur mais sa largeur est impressionnante.
Je glisse cette mémère dans le sac de pesé que j’accroche au peson. Je parviens à stabiliser le poids à 18.3kg. J’éclate de joie à la vue de cette merveilleuse indication.

Le papi n’en revient pas et moi aussi. Cela fait plaisir au milieu des carpes de 6 à 11kg.
Nous procédons à la pose photo et je relâche rapidement le spécimen à son élément.
Je viens de battre le record de l’année dernière sur ce plan d’eau, en passant de 15kg à 18.3kg.
Super !

18.3kg18.3kg

En fin de journée, le carpiste de ce matin revient à ma rencontre après avoir plié bagage. Entre les départs, nous discutons encore un peu et me demande à quoi, puis comment je pêche pour avoir un résultat pareil. Je lui explique ma pêche et lui montre les pellets. Il n’avait pas l’air de connaître.
Très sympathiquement, il me propose une bière que je déguste avec plaisir.

Après son départ, j’enregistre encore quelques touches avant de relever les lignes pour la nuit.

Le bilan de cette journée de mardi est encore mémorable. Je réalise 16 touches pour 14 carpes, dont une belle miroir de 18.3kg. Finalement, le fait de lancer les lignes du bord avec précision n’ont rien changé à la pêche.

Comme la veille, je contacte ma chérie et mange avant d’aller me coucher.

Le réveil sonne 6h15 pour me sortir d’un profond sommeil.
Je commence à lancer les lignes les unes après les autres, mais je n’ai même pas le temps de finir que ma première canne démarre.
Malheureusement, je manque le poisson au ferrage.

LinéaireJe n’ai pas le temps de déjeuner correctement, je suis interrompu deux fois jusqu’à 8h30.
Je pose une carpe de 9kg sur le tapis et en décroche une autre.

A partir de ce moment-là, les brèmes deviennent infernales. Je dois faire 10 nuisibles jusqu’à 11h, je reste persuadé qu’elles gênent les carpes sur l’amorçage.
J’enregistre tout de même plusieurs touches de carpe dans la journée, mais c’est moins cadencé que les autres jours.
Je me demande si je ne commence pas à épuiser le spot d’amorçage. Au bout d’un moment, les carpes doivent bien se douter que cela pique dans le coin !

Enfin, je ne me plains pas, malgré les décroches et les casses.
Je réalise 11 touches pour 5 carpes et au moins une vingtaine de brèmes.

Je me couche sur cette bonne journée de mercredi pour ouvrir les yeux le jeudi à 6h15.
C’est ma dernière journée complète avant mon départ demain matin. Je compte bien encore mettre les bouchés doubles.

J’èche mon premier montage de deux pellets de 15mm et positionne la ligne à droite du repère.
Soudainement, je ne comprends pas tout !
Je n’arrive pas à tendre la ligne correctement, puis d’un seul coup, la bobine se met à tourner à grande vitesse.
Incroyable, il y a déjà une carpe au bout de la ligne !
Je ramène le montage avec une petite carpe commune de 5kg pendue à l’hameçon.
La journée démarre bien !

Cette fois, c’est très tôt que je suis bousculé.
Pour mon petit déjeuner, je suis obligé d’éteindre mon réchaud à deux reprises pour m’occuper des lignes. J’ai bien cru que je n’y arriverai pas.

Je vis une journée de fou !
Les détecteurs de touches sonnent sans arrêt.

Vers 11h, je reçois la visite d’une école de pêche constituée d’un moniteur et une vingtaine d’enfants d’à peu près 10ans.
L’accompagnateur m’avait aperçu lundi en train de réaliser une belle pêche. Il a profité de cette occasion pour faire une sortie avec l’école pour montrer l’approche de la pêche à la carpe.

C’est avec grand plaisir que je les accueille et leur présente cette pêche qui intrigue souvent les gamins.
Je commence par le début avec le choix d’un poste de pêche jusqu’à la prise d’une carpe. Les appâts, l’amorçage, les montages aux cheveux, le respect du poisson, le tapis de réception, en finissant avec la pratique du No-kil.
Par chance, c’est pendant toutes ces explications que j’enregistre une touche. Je ne vous raconte pas l’exclamation des gamins !
Des vrais puces au bord de l’eau !

LinéaireC’est avec grande satisfaction que je pose une jolie carpe miroir de 8kg sur le tapis de réception.
Pour les plus courageux, j’autorise à caresser le poisson.
J’ai bien vu de futurs carpistes en herbe !

Je réponds à plusieurs questions, puis vers 12h, ils me laissent à ma passion en regagnant leur bus.

J’ai vraiment passé un bon moment avec eux, je trouve cela super sympa d’apprendre notre pêche aux enfants et leur montrer le respect que nous devons porter aux poissons. C’est un instant que je n’oublierai pas.

Vers 12h30, après un départ foudroyant, je débute un combat particulier. Le poisson semble tenir le fond et ne revient pas facilement.
Plus il s’approche de la bordure, plus les rushs sont violents. Je tiens certainement un beau poisson.
Malheureusement, le spécimen se bloque dans un obstacle dix mètres devant moi. Je saute dans la barque pour tenter de décoincer le fil, mais rien à faire. A plusieurs reprises je laisse la carpe prendre quelques mètres de nylon, mais je vois bien que cela bloque toujours au même niveau.
Puis soudain, la casse !

SoucheJe suis furax sur ma barque, j’ai certainement manqué un très beau poisson !

Enfin, je reprends mes esprits pour continuer ma session de pêche.

J’ai à peine le temps de refaire le montage et relancer la ligne que les carpes ne me laissent pas une minute de répit.
C’est départ sur départ !

En début de soirée, Elise m’appelle mais je suis obligé de couper la conversation trois fois de suite. Les touches ne me laissent pas le temps de bavarder avec ma chère et tendre.
Je relève les lignes un peu avant 21h pour clore cette journée de fou.
Je rappelle Elise pour pouvoir enfin discuter tranquillement.

Le bilan de ce jeudi ressemble beaucoup à celui de lundi avec un peu plus de déchets.
Je réalise 21 départs pour 14 carpes.
Le niveau du lac a baissé d’un mètre depuis mon arrivée. Je sens un obstacle immergé devant moi qui ne me gênait pas au début de la partie de pêche.

Je me couche vers 23h pour cette dernière nuit à Pannecière.

Il est 6h15, le réveil retenti.
Je positionne les èches sur les cheveux avant de lancer les lignes sur les spots d’amorçage.

Vers 7h, l’un de mes détecteurs s’emballe, biiiiiiiip !!!
Arrivée au pied du rod-pod, je m’aperçois que c’est deux détecteurs qui retentissent d’un bruit sourd.
Ce n’est pas croyable, j’ai deux touches en même temps !

Je saisis l’une des cannes et laisse l’autre faire sa vie.
Au bout de quelques minutes, je sors le premier poisson que je relâche rapidement.
Je prends alors la deuxième canne pour prendre contact avec le poisson qui a bien eu le loisir de slalomer les obstacles immergés.
J’ai beau faire de mon mieux avec mon embarcation, la casse est inévitable.

J’enregistre encore quatre touches avant 10h.

Si je veux rentrer pas trop tard, il faut se faire une raison, je dois commencer à plier bagage.
J’enlève les lignes de l’eau et range minutieusement mon matériel.

PostePoste

Il est 11h30, le Kangoo est chargé avec plus de 75kg de pellet en moins.

Je ne regrette pas d’être venu dire au revoir au lac de Pannecière. Cela a été ma plus belle session de pêche réalisée sur ce site magnifique. Le temps des travaux et du rempoissonnement sera long. Il faudra certainement attendre 5 ou 6 ans avant de retrouver une pêche intéressante.
Pour cette partie de pêche, je comptabilise 76 départs pour 55 carpes avec un poids total de 412kg.
Je suis juste un peu déçu de la moyenne à 7.5kg, malgré mon record à 18.3kg.
J’avais fait une moyenne bien supérieure l’année dernière sur le secteur de Blaisy.

Au revoir Pannecière !

Thème: Sessions de pêche | Département: Nièvre (58) Lien permanent | Voir les 6 commentaires
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carpes morvan lac de chaumeçon

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Article de carpextreme publié le 31 Décembre 2010 à 17:21 dans le blog team carpextreme
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 Session du mois d'août 2010 sur un de mes lacs favoris du Morvan. CDL en 28/100ème shimano. BDL en fluoro. Hameçon hayabusa. Billes maison carnée/épicée. Pêche de jour à moyenne distance. 

Difficulté: Moyenne

Accès: difficile (véhicule loin du spot)

Confort: aucun (berges en pente et glissante par la présence de nombreux caillou).

Réglementation: pêche de nuit interdite (attention garderie présente)

Superficie du lac: environ 135 hectares 

Profondeur de pêche: inférieur à 4 m

Distance de pêche: inférieur à 50 m (respecter les autres usagés, c'est se faire accepter) il ne sert à rien de pêcher sur l'autre berge sur ce lac, comme je l'ai vu cet été ou 2 carpistes on monopolisé au moins 300m de berge). Les pêcheurs de carnassier pêchent à la verticale!!!!

Je pêche ce lac depuis + de 30 ans et je ne suis pas contre partager ce petit paradis, mais par pitié respecter ce site en respectant la réglementation et en laissant cet endroit propre. Merci

 

 

Thème: Destinations et lieux de pêche | Département: Nièvre (58) Lien permanent | Voir les 3 commentaires
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Pêche en forêt

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Article de TomSuncarpe26 publié le 8 Octobre 2010 à 15:50 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le dimanche 12 septembre 2010.

La deuxième partie de mes vacances va se dérouler sur le plan d’eau de Pannecière, en compagnie de Fabien, notre administrateur PowerCarp.

Il s’agit d’une grande retenue de barrage de 520ha sur la rivière Yonne, située près de Château-Chinon dans le massif du Morvan.

 

Blaisy

 

 

 

Je vais effectuer ma sixième édition sur ce plan d’eau, autant dire que les carpes n’ont plus aucun secret pour moi à cette époque de l’année. 

Le réveil sonne à 5h du matin.

Je vide mon frigo dans la glacière et m’installe dans le siège de mon Kangoo pour faire route vers le nord.

A cette heure de la journée, je n’ai aucun problème pour circuler et effectuer la traversée de Lyon. Je m’arrête dans une boulangerie à Autun pour prendre soin de me remplir l’estomac avec un pain aux raisins et un autre au chocolat, puis je reprends la route.

 

 

 

 

 

 

 Le voile noir de la nuit disparaît, en laissant place à un magnifique soleil. 

J’arrive à destination sur les coups de 9h.

J’ai déjà une idée du poste pour m’installer, mais va-t-il être libre ?

 

Je visite tout d’abord le secteur d’Huard pour faire une estimation sur la fréquentation du site.

Il n’y a personne en début de parcours, mais la deuxième moitié est recouverte de biwy.

Je reprends mon chemin et me dirige vers le secteur de Blaisy. J’aperçois plusieurs tentes posées sur la berge dans mon champ de vision.

Je me gare pour rendre une petite visite aux carpistes. C’est avec grande joie que je trouve mon poste disponible. De plus, les deux carpistes de droite sont en train de plier. Après quelques échanges entre nous, ils m’annoncent qu’ils ont fait très peu de prise dans la semaine. Un peu plus loin, le pêcheur de gauche tient le même discours.

Mon moral n’est pas atteint, je suis d’une motivation hors du commun.

 

Fabien arrive que demain matin, je m’installe sur une pointe en laissant tout le côté droit disponible.

 

Ma première mission est de détecter avec mon écho-sondeur, les arbres immergés de part et d’autre du lit de la rivière. Je m’empare de trois repères et mon embarcation, pour baliser la zone de pêche.

Je trouve très facilement le lit de la rivière dans 23m de fond, grâce à l’accumulation de vase sur le fond, visualisée sur ma petite télévision. Les arbres sont beaucoup plus difficiles à détecter, c’est en pratiquant la pêche que je trouverai les passages de libres.

Les repères sont positionnés en ligne droite parallèle à la berge, à 110m du bord derrière le lit.

 

« Je pense surprendre beaucoup de lecteurs en voulant effectuer une pêche dans 23m d’eau. Non cela n’est pas une faute de frappe, c’est bien vingt-trois mètres. Je vous laisse lire la suite pour en tirer les conclusions »

 

Je refais les montages de toutes mes lignes, afin de pêcher dans les meilleures conditions.

Je prends le temps de casser la croûte et je commence à déposer mes lignes en bateau.

 

Poste

 

Je centralise mes deux cannes du milieu, avec des esches aux pellets de 25mm et un amorçage avec du 7, 15 et 25mm. Les deux autres lignes à chaque extrémité sont muni de bouillettes fruitées.

 

Le temps se gâte très rapidement, je monte mon biwy pour pouvoir affronter la pluie si elle s’approche d’un peu trop près.

Cela ne traîne pas, à peine les affaires à l’abri que les gouttes font leurs apparitions.

 

C’est incroyable, les lignes trempent seulement depuis 1h30 et j’enregistre mon premier départ.

Bien sûr, sous la pluie !

 

J’enfile mes habits imperméables et cours au rod-pod pour saisir la canne de droite. Heureusement, il n’y a pas d’éclair à proximité.

Les poissons de ce plan d’eau sont toujours aussi combatifs. Je parviens à l’extraire des arbres pour mener un combat sans merci sur la bordure.

Je sors ma première carpe miroir de 8kg.

 

 

Pluie

 

 

 

 Je relâche aussitôt le poisson pour très vite me remettre à l’abri de la pluie.

Le vent se lève violemment, une bourrasque venant de je ne sais où m’arrache deux sardines sur le côté gauche de mon biwy. Ma sur-toile fait un vol plané sur l’arrière, me laissant à poil sous la pluie.

C’est un peu la panique, j’attrape le mat en aluminium d’extrême justesse avant le décollage complet de la tente.

Toutes mes affaires se mouillent : duvet, nourriture, vêtement …

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans le même temps, ma deuxième canne de gauche se met à dérouler. Je sacrifie la touche au gré de mes biens personnels.

 

En quelques minutes, je plie le biwy en boule et jette toutes mes affaires dans le Kangoo.

 

Par chance, ma toile n’est pas déchirée et la pluie n’a pas eu le temps de trop mouiller mon matériel.

 

En ce qui concerne le poisson, il a eu tout le plaisir de s’enrouler autour des arbres immergés. La première casse est inévitable.

 

Je n’ai pas le temps de reposer les montages qu’une autre ligne se tend pour laisser place à un nouveau départ.

Le poisson se bloque dans une branche pendant quelques secondes, puis en sort pour venir sur le bord. Le combat est redoutable, les rushs sont puissants et très violents. C’est seulement au bout d’un bon quart d’heure que je hisse hors de l’eau une jolie commune de 10kg.

La violence du combat est justifiée, la carpe est piquée sous le ventre. Elle s’est certainement roulée sur mon pellet.

 

Je retends le plus vite possible les trois lignes encore hors de l’eau.

 

Pour le deuxième montage de mon biwy, cette fois je prends garde à l’orientation de l’entrée.

 

Le carpiste de gauche vient prendre de mes nouvelles. Je lui raconte mes aventures et la prise de deux poissons sur trois touches. Il a fait seulement une carpe en 48h, son visage en dit long sur ma pêche miraculeuse.

 

Pendant notre discussion, j’enregistre un nouveau départ sur la ligne de droite.

Le poisson regagne facilement le bord pour se livrer quelques minutes plus tard à mon épuisette.

C’est une belle miroir, certainement ma plus belle prise dans ce plan d’eau. Mon record actuel est de 14kg. Pour me faire plaisir, mon peson indique 14.5kg.

Je profite des dernières lueurs du soleil pour prendre les photos. Le carpiste d’à côté en est dépité.

 

 

14.5kg14.5kg

 

Je profite du début de soirée pour me préparer à manger.

Après mon repas, je m’allonge sur mon bed-chair pour essayer de trouver le sommeil.

 

Le jour se lève petit à petit, je n’ai presque pas fermé l’œil de la nuit, les touches ont été nombreuses.

Fabien arrive vers 9h avec les croissants.

Je prépare le cacao pour bien commencer la journée.

 

Je fais un état de mes premières heures de pêche. J’en suis à 9 départs pour 7 poissons, avec une belle moyenne à 10kg. Fabien est heureux de savoir que les carpes sont mordeuses.

 

Il s’installe sur ma droite comme prévu. Il dispose à son tour, des repères dans le lit de la rivière.

 

A ma grande déception, la journée est calme, en enregistrant seulement deux touches de brème.

 

 

Coucher de soleil

 

 

 

 

 

 

Il faut attendre la nuit pour entendre de nouveau les détecteurs sonner.

Pour cette deuxième nuit, j’ai beaucoup moins de chance. Je fais seulement un poisson de 6kg pour quatre touches. Les arbres ont été fatals sur les départs.

 

 

 

 

 

 

 

 

La journée de ce mardi est magnifique, le soleil nous colore la peau d’un joli rouge écarlate.

 

Fabien enregistre une touche à 14h, il sort une jolie petite miroir de 5.5kg.

 

En milieu d’après-midi, j’aperçois le carpiste de gauche en train de plier bagage.

Je vais le voir, il n’a pas le courage de rester plus longtemps. Il n’a pas de touche et en voyant ma pêche, il déclare forfait.

 

 

 

Il faut une nouvelle fois attendre le coucher du soleil pour que les touches reviennent.

Le poisson devient très actif sur mes zones d’amorçages. Pour moi, la nuit est courte.

Vers 2h, la ligne de droite déroule en même temps que celle d’à côté. Par chance, j’arrive à sortir les deux carpes.

Le bilan de la nuit et plutôt sympathique, je fais 8 départs pour 7 poissons, dont une miroir de 10.5kg.

Fabien a moins de chance que moi en manquant deux poissons dans la nuit, avec une décroche et une casse.

 

 9kg9kg

 

Dans la journée de mercredi, le ciel se recouvre de gros nuages pour amener la pluie.

 

Comme la veille à 14h, Fabien sort une miroir de 5.5kg. L’histoire se répète.

 

La petite pluie amène aussi les départs, je fais trois carpes de 8, 9 et 10kg en 45 minutes entre 16h et 16h45.

La cerise sur le gâteau arrive à 21h15 suivant un bon repas.

Après une belle touche sur la deuxième canne de gauche, j’engage un combat sans merci avec le poisson. A droite, puis à gauche, 10 mètres de rush, la carpe ne se laisse pas faire. Le combat est bien supérieur à d’habitude, cela doit certainement être un beau poisson. Au bout d’un quart d’heure de lutte, le spécimen se rend à l’épuisette.

Il s’agit d’une jolie commune de 15kg, mon nouveau record ici.

 

 

15kg15kg

 

La nuit de mercredi à jeudi est chaotique.

Je parviens à obtenir 4 départs, se soldant tous par une casse ou une décroche dans les arbres.

Quand la poisse s’y met, on ne peut pas faire grand-chose.

 

Les nuits sont fraîches, mais au lever du jour, le soleil nous réchauffe très vite.

 

Pour sauver cette mauvaise nuit, je parviens à obtenir 4 touches dans la journée. Sans l’expliquer, j’arrive à sortir tous les poissons. Quatre carpes miroirs de 8 à 10kg.

 

En soirée, nous avons le temps de cuisiner un bon petit plat de pommes de terre et tomates avec des blancs de poulets.

Ma devise est : pour bien pêcher, il faut bien manger !

 

Nous-nous couchons avec le ventre bien plein.

 

Je suis réveillé par un premier départ à minuit, puis trois autres fois jusqu’au matin.

Sur 4 départs, je perds seulement un poisson. Les carpes sont de tailles correctes : 12kg, 8kg et 10kg.

 

12kg12kg

 

 

Au lever du jour, je suis réveillé par deux carpistes en train de discuter devant ma tente.

Cela n’est pas très agréable, j’attends un peu, puis je sors pour prendre la température.

 

Ils ne traînent pas à venir me voir pour connaître le résultat de ma pêche. Je leur explique ma session en disant que je quitte mon poste demain matin.

Ils veulent s’installer où je suis posé.

 

En attendant mon départ, ils plantent leur campement sur ma gauche.

 

Nous avons la visite de deux personnes chargées de nous apprendre qu’il y a un concours de pêche aux carnassiers qui débute demain matin à 9h.

87 bateaux sont attendus sur le plan d’eau.

 

Je fais mon plus petit poisson vers 13h, une miroir de 5kg.

Je décroche une autre carpe sur les coups de 18h30, pendant la préparation du souper.

 

Cela n’est que le début de la débâcle.

Cette dernière nuit est une catastrophe, je n’enregistre pas moins de trois casses en très peu de temps.

J’attrape une fracture du moral avec l’accumulation du manque de sommeil de la semaine.

Je vais me recoucher sans retendre les lignes.

poste

 

Vers 8h, nous commençons à relever les montages pour laisser place à l’armada de bateaux qui va débouler.

 

A 9h, la flotte est lâchée, il y a des bruits de moteur dans tous les sens.

Il était bien temps de ramener les lignes.

 

Nous plions petit à petit en laissant sécher les toiles de tente après une belle rosée tombée dans la nuit.

 

Pour être franc, je suis content de quitter les lieux. Une semaine de pêche intensive est vraiment dure physiquement. Surtout après cette dernière nuit difficile.

 

Le kangoo est chargé vers 11h, après mes adieux à Fabien, je décolle aussitôt.

 

Je tiens à remercier Fabien pour ça très bonne compagnie, nous avons passé de bons moments pendant cette semaine, puis surtout bien mangé.

 

Le bilan de cette session est comme les années précédentes, très bon, malgré beaucoup de pertes.

En ayant balancé plus de 60kg de pellet et 15kg de bouillettes, la stratégie de pêche a encore fonctionné.

Le résultat est de 42 départs pour 26 poissons sortis. Cela représente 250kg de carpe en moins d’une semaine.

Toutes les années, le poisson grossit régulièrement. Nous approchons une moyenne de 10kg au lieu de 5, il y a 4ans.

La vidange est retardée jusqu’à 2012, je serai de nouveau présent sur les berges de Pannecière l’année prochaine.

      

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Pannecière septembre 2009

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Article de couzchain publié le 18 Novembre 2009 à 06:18 dans le blog PASSION CARPISTE
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Dimanche 21 septembre, je reçois un texto de Thomas (Sun Carpe 26) qui lui est déjà arrivé sur notre prochain lieu de villégiature. Il me dit que la fréquentation du lac est au plus bas et que le niveau de l'eau est idéal pour une belle pêche. Je ne pars que demain mais je m'y vois déjà. Fabien me suivra dans cette semaine de pêche amicale, Guillaume lui nous rejoindra mercredi si les berges ne sont pas trop encombrées de carpistes.

J'arrive sur les coups de 8h00, le dernier carpiste présent plie son matériel, j'ai comme l'impression que nous serons bien seuls ces prochains jours. Je retrouve le Tom et déjà il me livre ses premières impressions sur le lac, elles sont des meilleures car déjà un sac de conservation lui tient compagnie. C'est devant un chocolat chaud et des croissants que nous apprivoisons, une fois de plus, ce lac de Pannecière et ses obstacles dantesques en cette période. La pêche sera simplifiée car il ne reste que le lit et ses vestiges d'arbres et de haies pour accueillir nos montages. Les carpes sont ici à cette époque de l'année, rien d'autres pour les attirer plus concrètement.

Avec Fabien, nous survolons le secteur en zodiac et nous nous plaçons loin les uns des autres pour un confort de pêche optimal. Nous ne gênons personne (et çà tout au long de la semaine) car nous ne verrons pas âmes qui vivent, si ce n'est les pêcheurs de carnassiers. Nous installons un repère chacun pour délimiter les obstacles les plus perturbateurs. Il y a encore entre 12 et 14 mètres d'eau suivant les postes, les carpes ne sont pas dérangés par ces profondeurs car mon plus beau poisson c'est fait prendre ici dans 18 mètres. Je prépare mon coup principal à base de pellets et de bouillettes en 18 mm, je disposerais deux cannes en son milieu et deux cannes en périphérie. C'est ce qu'on appelle une pêche simple et sans prise de tête, tout pêche sur les coups de midi.

Le premier départ sera aux environs de 16h00, mais malheureusement il se soldera par une décroche. Je n'aime pas çà car si une session commence mal, la suite risque d'être à l'identique. La nuit sera calme car conclue par trois départs alors que les carpes semblaient des plus agitées. La journée du mardi sera rythmée par les départs et les mises à l'épuisette, 10 départs pour 5 carpes. Les obstacles ont raison de moi et les poissons jouent superbement avec, les souchages sont légions et je ne trouve pas la solution pour les contrer. Heureusement mes montages sont de telles sortes que les carpes n'ont aucun mal à s'en débarrasser en cas de problèmes. Le reste de la session se soldera par une victoire nette des carpes, les départs s'enchaînent mais les arrivées ne sont pas toutes faciles à concrétiser. Tant pis, on prend au moins du bon temps à vivre, à quatre maintenant car Guillaume nous a rejoins.

 

Nous allions tous notre nourriture pour nous concocter de bons petits plats, chapeau bas à Thomas qui a tous les ustensiles et ingrédients nécessaire pour cela. Si les carpes se délectent de nos appâts, et bien nous, nous profitons des légumes, pommes de terre et viandes préparés avec soin. Nous passerons tous une session forte sympathique et amicale, de nos jours c'est ce qui compte. De temps à autre cela fait plaisir de se retrouver tous les uns les autres, pour échanger et dialoguer sur notre passion et autres (AHHH !!!! la voie lactée, les météorites, les étoiles, les planètes, ...).

Nous réaliserons tous une jolie session avec des carpes de toute beauté et des combats dignes d'un grand lac, quelques poissons de plus de 10 kg pour finaliser tout cela et tout était réuni, même la météo était de notre côté, short et tee-shirt dans le Morvan au mois de septembre, du jamais vu.

 

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